Donnie Darko

Origine:
  • États-Unis
Genre:
  • Drame
Année de production: 2001
Date de sortie: 17/04/2002
Durée: 1h47
Tout public
Synopsis : Donnie Darko est un adolescent pas tout à fait comme les autres. Son intelligence et son imagination font de lui un être à part. Il a pour ami Frank, une créature que lui seul peut voir et entendre. Dans la petite ville où il habite, surviennent des événements bizarres: le collège est mis à sac et une espèce de gourou new age, Jim Cunningham, est chargé de ramener les élèves sur la bonne voie. Donnie sait que derrière tout cela se cachent d'inavouables secrets. Frank l'aidera à les mettre à jour, semant le trouble dans la communauté. L'évolution du jeune garçon déroute et inquiète sa famille, sa psy, ses amis, et surtout sa copine Gretchen... Avec l'aide de son professeur de physique, Donnie découvre que rien de ce qui se passe n'est dû au hasard. Malgré ses efforts, la survie de ses proches et du monde est menacée. Lui seul peut agir, mais il doit faire vite. Frank le lui a dit...
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    8.8/10 22 votes - 21 critiques

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Avis des internautes du film Donnie Darko

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Publié le 7 mai 2002
Troublant par moments;des personnages réels, imaginaires ou les deux à la fois;un personnage principal consistant; une enième caricature du monde bourge américain assez amusante, un scénarion bien ficelé, voilà de quoi passer un bon moment. Un bon film, sans plus!

Publié le 4 mai 2002
Le contraste entre l'allure de l'acteur principal et celle de son nom de super héro est représentative de l'excellente dialectique qui anime le film : un humour assez fin qui pourtant ne met pas le spectateur 'en regard extérieur' du film, mais l'y plonge bien plus encore que d'ordinaire. Entre la philosophie sexuelle des schtroumpfs et une analyse à la limite philosophique des attitudes incohérentes d'une jeunesse américaines victime des valeurs traditionnelles conservatrices (mais bon, là il faut interpréter le film, ce n'est pas son sujet), on trouve une des meilleures qualité d'un film : la possibilité d'y appliquer plusieurs lectures. Et le lapin est génial.

Publié le 4 mai 2002
Par contre je ne suis pas trop d'accord avec le rapprochement fait des films de Lynch. J'ai l'impression que dès qu'un cinéaste perturbe un minimum la structure temporelle de son récit, on fait un rapport avec Lynch. Ce n'est pas parce que le réalisateur n'indique pas les flashbacks ou les projections temporelles avec des ficelles habituelles qu'il ressemble à Lynch. Ni parce que son film a plusieurs interprétations : per exemple les films de Terry Guilliam en ont aussi, des multiples interprétations! Je ne défend pas Lynch comme supérieur aux autres non plus, mais il dénote quand même avant tout par le contenu at pas par la forme... or il me semble que dans ce cas, les contenus sont assez éloignés.

Publié le 2 mai 2002
Ce film est un puzzle fascinant. On peut le lire de 10 manières différentes, et pourtant aucune lecture ne mène à une solution parfaite... du fantastique si efficace et sans trucages à la tonne? J'en redemande, et vu l'air absorbé des autres spectateurs à la sortie, je ne suis pas le seul.

Publié le 30 avril 2002
American Beauty, Virgin Suicide, Blue Velvet, 12 Monkeys et Roger Rabbit sont dans un shaker : secouez bien, ajoutez un zeste de trucs piqués ailleurs (Being John Malkovitch pour les théories physiques complètement nouilles) et vous avez Donnie Darko. Bons points : c'est par moment franchement effrayant, l'acteur principal est grandiose, passer du ridicule à l'atroce avec l'histoire du lapin rélève du génie et la fin perturbe à donf. Mauvais points : c'est vraiment n'importe quoi, ce truc, dispersé et gratuitement bizarre.

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