Final Destination 2
Réalisateur:
Origine:
- États-Unis
Genres:
- Action
- Horreur
Année de production: 2002
Date de sortie:
02/04/2003
Durée: 1h45
Synopsis :
En route pour la plage de Daytona avec ses amis, Kimberly a soudainement la vision d'un accident terrifiant qui va se dérouler sur l'autoroute et qui va lui coûter la vie et celles de ses amis. Elle arrrête immédiatement sa voiture et assiste, médusée, à une collision en chaîne sur l'autoroute... comme dans sa vision ! Grâce à cette 'prémonition', Kimberley a déjoué les plans de la 'Mort' elle-même. Et la 'Mort' accepte difficilement de ne pas avoir le dernier mot. Un par un les survivants de 'l'accident' meurent dans des circonstances atroces. La seule personne qui pourrait aider Kimberley est Clear, la seule survivante des événements du premier 'Destination Finale'...
Avis des internautes du film Final Destination 2
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Publié le 3 avril 2003
Du sang, des boyaux, de la rate et du cerveau ! c'est un bon résumé du film je pense ! Vous aimez l'humour noir, les troncs déchiquetés, les boyaux qui volent ? Allez voir ce film qui n'invente rien (que du contraire) mais se laisse agréablement regarder tout en dégustant de délicieux bonbons couleur rouge...sang ;o)
Publié le 3 avril 2003
Excellent si on le prend 'à la rigolade' et qu'on fait abstraction du fait que le point fort du film n'est pas le scénario (le concept est simple : tout le monde doit y passer ou presque). On jubile donc en voyant la panoplie de procédés qu'utilise la Mort pour se débarrasser des rescapés (temporaires) du crash autoroutier. A prendre donc au second degré...(les fans de thrillers psychologiques aux 36 rebondissements ne doivent même pas prendre la peine de commenter ce film). PS: génial la scène des 'pigeons'
Publié le 1 avril 2003
En toute objectivité, puisque je n'ai toujours pas vu le premier, je trouve ce film génial !! Mais, ça ne fait même pas peur, mais on se réjouit de voir la mise en scène du meurtre suivant. Alors on essaye d'imaginer, car on reçoit certains indices, et à chaque fois on est étonné de voir ce qui se passe, totalement inattendu. Pour moi le scénario est bien, mais c'est surement le même genre que le premier. Et en plus de tout ça, les effets visuels sont superbes. Il faut y aller pour rire et voir du gore, pas pour être effrayé toutes les cinq minutes...
Publié le 23 février 2003
S'il est facile de donner une appréciation à Final Destination 2, le choix d'une côte se révèle être plus compliqué. En tant que série B, le film ne demande pas forcément une vision en salle. Néanmoins, en tant que bonne série B, il se situe au-dessus d'un nombre incalculable de daubes qu'on nous propose aujourd'hui. D'abord, il y a le défi à relever. Final Destination 1 était une petite bombe. Une série B genre film d'horreur pour ados, qui se révélait bien plus intéressante car basé sur une idée scénaristique intéressante, proposant des scènes mi-stress mi-gore sympatiques et mise en image de manière efficace par James Wong. David R. Ellis a repris le flambeau encore chaud et risquait bien de l'éteindre dès la pré-production même de la suite. Au contraire, en prenant le parti de récupérer uniqueemnt l'idée principale du premier épisode sans rien y rajouter, le réalisateur propose une prototype parfait de la série B gore qui fait plaisir. Le scénario est mauvais et inintéressant, les acteurs sont presque tous limites, mais le film qui se déroule comme une suite de longues scènes de la vie quotidienne vues sous un angle limite parano et finissant dans du gore sanglant, est tout simplement jouissif. On prend un plaisir certains à voir ses ados se faire arracher la tête par un ascenceur, ou se faire écrase par un énorme panneau vitré. On a donc décidé de mettre 7 sur 10, en sachant bien que ce n'etait pas pour le scénario. Pour conclure, notons la première scène de l'autoroute, tout simplement parfaite. La montée de la tension parfaitement réglée, et la mise en scène de l'accident est fantastique. Ca fonce, ca freine, ca glisse, ca dérape, ca découpe, ca explose. Badaboum. (critique écrite pour www.roulive.com)
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Lionel Flips