Gangs of New York

Origines:
  • Allemagne
  • États-Unis
Genres:
  • Drame
  • Action
Année de production: 2002
Date de sortie: 08/01/2003
Durée: 3h00
Tout public
Synopsis : En 1846, New York est le théâtre d'une guerre des gangs entre émigrants irlandais d'un côté, menés par Priest Vallon, et les Native Americans de l'autre, menés par le sanguinaire Bill Poole. Ce dernier met en déroute les Dead Rabbits en assassinant leur chef, et prend le contrôle exclusif des rues de la 'grosse pomme'. 17 ans plus tard, les Native Americans règnent toujours en maître dans New York. Amsterdam Vallon s'apprête à venger la mort de son père...
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    6.0/10 90 votes - 94 critiques

Posters du film Gangs of New York

Photos du film Gangs of New York

Avis des internautes du film Gangs of New York

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Publié le 14 janvier 2003
'Un cocktail... irlandé !'... Lorsque l'on s'appelle 'Scorsese', réalisateur de talent bien connu, et qu'on accouche d'une oeuvre revendiquant une accroche présomptueuse, on est en droit de s'insoler quelque chose digne de son nom ! Je soupçonne néanmoins notre cinéaste émérite d'être rentré de tout son être dans les astuces fiables du 7ème art, abusant d'une finauderie qui lui assure un cota de spectateurs respectable, en jouant délibérément sur la fibre encore fumante du lugubre. Exploiter à merveille la symbolique new-yorkaise et le phénomène marketing 'Dicaprio' dont l'effet de surprise du 'Pic à glace de l'Artique' n'est plus, à des fins hypnotiques ! Un film teinté de dépression, alternant euphorie et mélancolie, une histoire dans l'histoire saupoudrée d'un 'déja vu' qui assurait en son temps un top 'box-office'. Eh oui ! même les 'grands' tombent sous le sceau de la standardisation, les enjeux financiers étant tels, qu'il ne faut plus s'attendre de la part de ceux-ci qu'à du 'commercialement correct !'. Dorénavant, les 'José Bovet de la pellicule' se trouvent dans des endroits où Monsieur 'plein les poches' n'a pas encore toutes ses entrées, loin des bandes annonces tapageuses, effigie de plus en plus universalisée de cette intelligentsia préfabriquée que l'on essaye de nous fourguer à n'importe quel prix ! A voir (l'oeil Day-Lewesque !)...

Publié le 13 janvier 2003
Beaucoup de bruit pour un film correct mais qui est loin de meriter les critiques ditirambiques qu'il a recu...20 minutes pour planter l'histoire et 2H25 pour la finir de la maniere la plus attendue c'est un petit peu long...

Publié le 13 janvier 2003
2/10 Film très décevant et surcôté par les critiques. Il semble que le nom prestigieux du réalisateur a une nouvelle fois aveuglé la presse qui présente ce film comme un chef d'oeuvre, là où il n'y a qu'un étalement de violence gratuite. Le seul mérite est peut-être sa description historique mais je n'ai pas l'impression d'en être ressorti plus cultivé. Le manque de raison laisse penser que les New-Yorkais du XIXème siècle sont des débiles sans aucune pitié. La fin nous montrant la construction de New-York jusqu'au Twin towers essaie de donner un sens aux trois heures que vous venez de perdre mais c'est raté, on n'apprendra pas l'Histoire des Etat-Unis ou même de New-York grâce à Martin Scorcese.

Publié le 13 janvier 2003
Quelle histoire ! Quelle originalité ! Comme on se sent plus cultivés après ! Que le temps passe vite ! Quelle violence pas racolleuse ! Quelle histoire d'amour passionnante ! Que les acteurs sont bons ! Quelle musique ! Quel réalisateur ! QUELLE ENORME FARCE OUI ! Ce film est une punition à regarder ! Bon courage si vous devez aller le voir...

Publié le 13 janvier 2003
Ex-tra-or-di-naire ! Ca ne m'étonnerait pas que ce film récolte une pluie d'Oscars : au moins celui du meilleur film et du meilleur acteur (Daniel Day-Lewis dans le rôle de Bill le Boucher : même DeNiro n'aurait pas fait mieux. Quoi que...). Quant aux âmes sensibles, qu'elles se rassurent : il y a beaucoup de sang, mais la violence proprement dite, par exemple l'éclatement d'un crâne, est plus souvent suggérée que montrée. Et puis il y l'Histoire (avec un grand H). On ressort de ce film avec le sentiment d'être plus cultivé. Quant à la longueur, il fallait bien ça et je n'ai pas vu le temps passer.

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