Gangs of New York

Origines:
  • Allemagne
  • États-Unis
Genres:
  • Drame
  • Action
Année de production: 2002
Date de sortie: 08/01/2003
Durée: 3h00
Tout public
Synopsis : En 1846, New York est le théâtre d'une guerre des gangs entre émigrants irlandais d'un côté, menés par Priest Vallon, et les Native Americans de l'autre, menés par le sanguinaire Bill Poole. Ce dernier met en déroute les Dead Rabbits en assassinant leur chef, et prend le contrôle exclusif des rues de la 'grosse pomme'. 17 ans plus tard, les Native Americans règnent toujours en maître dans New York. Amsterdam Vallon s'apprête à venger la mort de son père...
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    6.0/10 90 votes - 94 critiques

Photos du film Gangs of New York

Avis des internautes du film Gangs of New York

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Publié le 17 janvier 2003
Depuis quelques mois, j'ai de plus en plus l'impression qu'en me rendant au cinéma, je perds mon temps et mon argent. Ce film ne déroge pas à la règle. On s'embête pendant la première moitié (et je me demande encore ce que tout le monde trouve de si génial dans la séquence d'ouverture), on espère que ca va repartir bien dans la deuxième, et finalement non. On touche à plein de thèmes (Racisme, manipulations politiques, puissance des medias,...), mais au final on ne fait que les effleurer. Les décors ? Mouais, ca sent le studio à plein nez. La musique ? Bof ! Le jeux des acteurs ? à part D.D.Lewis qui s'en tire plutôt bien dans un rôle où De Niro n'aurait pas fait tache, Dicaprio est pareil à lui même : insipide... et les seconds rôles sont tellement réduits que ca ne vaut pas la peine d'en parler. Que ceux qui y voient une fresque historique relisent un peu leurs bouquins...il y a beaucoup de chapitres qui, eux, auraient mérité 3 heures, mais certainement pas celui-ci...

Publié le 17 janvier 2003
J'y allais gonflé à bloc...Et je suis reparti dégonflé...Comment bon Dieu ces réalisateurs américains, aussi renommés soient-ils,n'arrivent-ils pas à sortir de ces scénarios prédéfinis, où l'on sait dès la première apparition d'acteur le sort qui lui sera prédit...c'est ça le gros problème finalement: il n'y a aucune évolution des personnages. Le boucher est et restera boucher, Cameron est bonne et of course tombe amoureuse du lover di Caprio. Lui nait en héro et vit en héro. Il est le seul à avoir un coeur sensible alors que le reste du peuple, de la mégère au noble politicien, se délmectent des spectacles sanglants du boucher et de la rue). ces personnages figés évoluent dans un New York en carton pâte, aux traits terriblements grossis (l'ambiance de la rue, maléable au profit du scénario, les personnages: les irlandais sont décidément tous roux et braves, les immigrés se battent avec des bougies et des enfants version marche blanche, face aux natives armés de haches...). au final, on ne comprend décidément pas grand chose sur la révolution (malgré la salve de bribes d'infos lors des émeutes finales), ni sur l'amour di Caprio - Diaz (on sait juste qu'elle aime lècher ses cicatrices). Seule la lutte Amsterdam - le boucher est presque cernée (quoique aussi à la grosse louche: un mec sort de nulle part -di Caprio- et se fait pote avec le mec le plus puissant de five points sur un claquement de doigts, et comme par hasard le big boss, réputé infaillible, lui montre ses faiblesses et voudrait l'adopter...). Donc merde quoi, ce film est NULLEMENT surprenant et s'affiche comme un mélange de Braveheart,de Love Story version série B... Il y a encore plus de surprises en lisant Martine à la foret, que dans cette super-mega-grosse production qui paye des acteurs fades (sauf Day Lewis, ben oui)et nourri une foi de plus le panier aux Oscars. Qui parie? De toutes façons, je ne regardrai pas...

Publié le 16 janvier 2003
Apparemmant, les avis sont plus que tranchés... A l'heure où l'on se plaint de la pauvreté lamentable des grosses machines américaines (Spiderman / Harry potter et autres Matrix I, II, III ou française (Taxi I, II, III ou le Pacte des Loups- j'anticipe les 'séquelles'); nous avons ici un film de qualité, qui, même s'il n'est pas le chef d'oeuvre que certains puristes (ou se disant puristes) attendaient de son auteur, nous permet - enfin - de voir tous les talents du cinéma réunis... qua ce soient dans la mise en scène, la cinématographie, les décors, les acteurs, la lumière, et même aussi le script (même s'il s'emballe un peu trop vite vers la fin)... Pourquoi s'en priver ? Même si ce n'est pas le chef-d'oeuvre attendu, Gangs of New York, reste un très bon film, un travail d'amoureux de cinéma, et rien que pour cela déjà, je lui donnerai sa chance...

Publié le 15 janvier 2003
Etranges critiques (quelques fois viscérales) sur le forum; on va jusqu'à reprocher à Scorsese de ne pas avoir fait un autre film ,un film moins commercial! On a tendance à oublier que plus le budget d'un film est important,plus il doit toucher un grand nombre de spectateurs pour être rentabilisé.Le cinéma coûte cher, un livre peut toucher quelques personnes mais un film ? Il faut bien s'accomoder de cette situation et,donc,composer.Les chefs-d'oeuvre sont rarissimes! Ceci étant dit,Scorsese s'en tire trés bien.Très bonne reconstitution y compris l'atmosphère.En tout cas,ce film permet de saisir un peu plus la réalité USA et de comprendre la difficulté des USA, pays encore jeune, de se débarasser de ses démons profondément enracinés : violence, possession d'armes, radicalisme religieux (un seul Dieu,à plusieurs visages, constamment invoqué));existence de gangs ou de clans;...Merci à Scorsese d'avoir fait connaître cette page d'histoire qui permettra de revoir avec un autre regard 'La Horde Sauvage','Il était une fois en Amérique','Le Parrain'... et'Bowling for Columbine'. Et même si la prestation de Di Caprio me paraît un peu en retrait de celle de Day-Lewis,Diaz,Gleeson et autres Neeson,tous excellents,ce fim est à voir scéance tenante.D'autant plus qu'il serait dommage de louper des personnages tels Bill, the Butcher ou Jenny (qui mériterait un film pour elle seule).

Publié le 15 janvier 2003
Pour ceux qui donnent 10/10 à ce film. Le Parrain; Shawshank Redemption; Citizen Kane; Apocalypse Now; Maltese Falcon, Amadeus; Les Temps Modernes; Ben-Hur; Brazil; Les Lumières de la Ville; Le voleur de bicyclettes; Psycho; Gangs of New York. Cherchez l'erreur.

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