Gangs of New York
Réalisateur:
Origines:
- Allemagne
- États-Unis
Genres:
- Drame
- Action
Année de production: 2002
Date de sortie:
08/01/2003
Durée: 3h00
Synopsis :
En 1846, New York est le théâtre d'une guerre des gangs entre émigrants irlandais d'un côté, menés par Priest Vallon, et les Native Americans de l'autre, menés par le sanguinaire Bill Poole. Ce dernier met en déroute les Dead Rabbits en assassinant leur chef, et prend le contrôle exclusif des rues de la 'grosse pomme'. 17 ans plus tard, les Native Americans règnent toujours en maître dans New York. Amsterdam Vallon s'apprête à venger la mort de son père...
Avis des internautes du film Gangs of New York
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Publié le 19 janvier 2003
This film is really not worth seeing. It does not seem realistic, exaggerates the presence of Irishmen in NY at the time, the battles are less than believable. The film is also muh too ong for such a thin script. It will be on TV in less than a year.
Publié le 19 janvier 2003
Eh bien moi j'ai bien aimé .. Foin des esprits chagrins qui se régalent par ex de 'carnage' et rejettent un film un peu long c'est vrai mais dont la mise en scène st soignée et qui n'ennuie pas du tout .. Je redoutais di caprio dans ce role mais finalement il s'en sort bien
Publié le 18 janvier 2003
La loi du plus fort est toujours la meilleur. La fin justifie les moyens. L'homme est un loups pour l'homme...
Publié le 17 janvier 2003
J'y allais gonflé à bloc...Et je suis reparti dégonflé...Comment bon Dieu ces réalisateurs américains, aussi renommés soient-ils,n'arrivent-ils pas à sortir de ces scénarios prédéfinis, où l'on sait dès la première apparition d'acteur le sort qui lui sera prédit...c'est ça le gros problème finalement: il n'y a aucune évolution des personnages. Le boucher est et restera boucher, Cameron est bonne et of course tombe amoureuse du lover di Caprio. Lui nait en héro et vit en héro. Il est le seul à avoir un coeur sensible alors que le reste du peuple, de la mégère au noble politicien, se délmectent des spectacles sanglants du boucher et de la rue). ces personnages figés évoluent dans un New York en carton pâte, aux traits terriblements grossis (l'ambiance de la rue, maléable au profit du scénario, les personnages: les irlandais sont décidément tous roux et braves, les immigrés se battent avec des bougies et des enfants version marche blanche, face aux natives armés de haches...). au final, on ne comprend décidément pas grand chose sur la révolution (malgré la salve de bribes d'infos lors des émeutes finales), ni sur l'amour di Caprio - Diaz (on sait juste qu'elle aime lècher ses cicatrices). Seule la lutte Amsterdam - le boucher est presque cernée (quoique aussi à la grosse louche: un mec sort de nulle part -di Caprio- et se fait pote avec le mec le plus puissant de five points sur un claquement de doigts, et comme par hasard le big boss, réputé infaillible, lui montre ses faiblesses et voudrait l'adopter...). Donc merde quoi, ce film est NULLEMENT surprenant et s'affiche comme un mélange de Braveheart,de Love Story version série B... Il y a encore plus de surprises en lisant Martine à la foret, que dans cette super-mega-grosse production qui paye des acteurs fades (sauf Day Lewis, ben oui)et nourri une foi de plus le panier aux Oscars. Qui parie? De toutes façons, je ne regardrai pas...
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Bartdude