Répulsion

Titre original: Repulsion
Origine:
  • Royaume-Uni
Genres:
  • Drame
  • Horreur
Année de production: 1965
Durée: 1h44
À partir de 16 ans
Synopsis : Une jeune manucure belge, Carole, travaille et vit à Londres avec sa sœur Hélène. Carole, introvertie, a des problèmes relationnels avec les hommes. Elle repousse Colin, qui la courtise et n’apprécie pas Michael, l’amant de sa sœur. Quand celle-ci part avec Michael, Carole sombre progressivement dans la névrose. Recluse, elle bascule dans la schizophrénie, et devient hantée par des bruits…
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    8.0/10 3 votes - 2 critiques

Posters du film Répulsion

Avis des internautes du film Répulsion

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Publié le 12 juin 2009
tres beau role pour catherine deneuve qui joue le role d'une refoulee(planel) dans le mem genre on peut parler de la mouche : film tv tout aussi effrayant bien sur la referance a psychose est evidente et meme si ca fait un peu rire aujourdhuy depuis qu'on a jose bove

Publié le 17 août 2006
Avec ce film, Polanski imite et/ou rend hommage au maître incontesté du suspens, Alfred Hitchcock. En effet, on ne peut s' empêcher de voir dans le personnage de Carole Ledoux, à certains égards, le pendant féminin de Norman Bates, qu' incarnait Anthony Perkins dans "Psychose". Catherine Deneuve, dans la peau de cette jeune femme qui va progressivement sombrée dans la schizophrénie et la démence meurtrière, réussit véritablement à troubler le spectateur. Et Polanski, lui, en faisant se dérouler l' essentiel de l' histoire en lieu clos (l' appartement de la jeune femme) créer une atmosphère qui finit par être, pour le spectateur, à la fois troublante, dérangeante et étouffante - un peu comme dans le sombre manoir victorien qui tient lieu de demeure à Bates, dans le film de Hitchcock. Et on ne peut s' empêcher de vouloir, par moments, rentrer dans la peau de la jeune Carole, de s' immerger dans son esprit, pour mieux suivre sa lente descente vers la folie. Car, de part le choix de Catherine Deneuve, et dont la manière dont Polanski la filme (par exemple, dans la rue, caméra à l' épaule, ce qui renforce l' impression du specteur d' assister en intime, en invité discret, à la tragédie qui se déroule devant ses yeux), on finit véritablement par se retrouver, peu à peu, totalement immergée par l' atmosphère oppressante que Polanski a su créer. Celui-ci utilisera à nouveau cette formule, huit ans plus-tad, avec une autre de ses meilleures oeuvres: "Rosemary' s baby".
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