Endiablé

Titre original: Bedazzled
Origine:
  • États-Unis
Genre:
  • Comédie
Année de production: 2000
Date de sortie: 31/01/2001
Durée: 1h32
Tout public
Synopsis : La vie d'Elliot Richards (Brendan Fraser) n'est pas vraiment un rêve. Il n'est pas très populaire, sa vie sociale est loin d'être excitante et il est amoureux de sa jolie collègue Alison Gardner (Frances O'Connor), sans que celle-ci ne se rende même compte qu'il existe. Fatigué de ces humiliations constantes, Elliot implore qui veut bien l'entendre pour que sa vie change et qu'Alison s'intéresse à lui. Quelle n'est pas sa surprise lorsque, pour répondre à sa prière, il voit apparaître la créature la plus sexy qu'il ait jamais vue. La vie d'Elliot va enfin prendre un tour un peu plus chaud... grâce au Diable en personne (Elizabeth Hurley). Bien sûr, il y a un prix à payer: son âme. En moins de temps qu'il ne le faut pour le dire, Elliot a tout ce dont il rêvait. Sept voeux, pour être exact. Qu'est-ce que ça ferait d'être riche et puissant? Ou l'homme le plus sensible de la terre? Comment se sent-on lorsqu'on est une rockstar? Ou une légende de basket? Pas de problème, le Diable règle ça! Mais Elliot apprend bien vite une très veille leçon: il vaut mieux réfléchir à deux fois à ce qu'on souhaite! Surtout que le Diable anticipe toujours ses voeux et a tendance à les interpréter un peu trop littéralement... Avec chaque nouveau souhait, la vie du pauvre Elliot devient un véritable enfer. Dieu ait son âme!
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    8.4/10 5 votes - 5 critiques

Photos du film Endiablé

Avis des internautes du film Endiablé

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  • 1
Publié le 16 décembre 2006
Imaginer que, comme Brendan Fraser, vous soyez un petit employé de bureau consencieux mais timide et effacé, à la personnalité pour tout dire sans relief ni envergure, que tous vos collègues vous évitent comme la peste parce que vous êtes ennuyeux au possible. Et que la plus belle fille que vous ayez jamais rencontrée bosse justement dans le même immeuble que vous et que, malgré tous vos efforts, elle ne réalise même pas que vous existez... Imaginer toujours qu' un soir vous vous apprêtiez à noyer votre chagrin dans l' alcool, et que soudain, le diable se matérialise et vous propose un marché: votre âme contre sept voeux qui vous premettront - dit-il - de réaliser vos envies les plus chères et qui vous apparaissaient jusque-là inaccessible !... Evidemment, si le diable en question a la plastique, le regard félin et les lèvres pulpeuses d' Elizabeth Hurley, on comprend que la tentation soit (très) grande et plus que tentante... Mais évidemment, comme c' est le Diable et pas le bon Dieu qui lui fait signer le contrat, on devine bien que Brendan Fraser va se voir la victime de quelques beaux tours de cochons de la part de cette reine des diablesses. Des rêves (évidemment trop beaux pour être tout-à-fait vrais) qui tournent à la déconvenue, voir au cauchemar, des tribulations et des (mé)saventures à répétition qui vont l' amener, à terme, à comprendre qu' il faut savoir allé plus loin que les apparences, qu' il faut s' accepter et parvenir à se faire aimer pour ce que l' on est et savoir rechercher la satisfaction et le bonheur dans la vie que nous avons et parfois là où l' on pensait ne pas pouvoir le trouver... Evidemment, ce genre de message fait un peu figure de morale ou de psychologie (trop) facile et bon enfant, emprunt même d' une morale chrétienne de bazar (Brendan Fraser qui parvient à rompre le contrat signé avec le Diable en formulant son dernier voeu au seul bénéfice et bonheur d' une autre personne et non pour lui-même). Mais, comme le film est américain et qu' il est destiné à séduire le plus large public possible, ça n' a rien d' étonnant. Mais cela ne nuit nullement au film et, malgré un happy-end prévisible et archi-classique, on s' en accomode fort bien. Si Harold Ramis n' est pas Frank Capra, celui-ci aurait sans-doute assez bien apprécié cette comédie, légère et enlevé, mais diablement réussie. C' est ici que Ramis a su se montrer et le plus drôle et le plus inspiré (plus encore qu' avec "Mafia Blues"). Il a su y donner le meilleur de lui-même, ainsi que Brendan Fraser (à l' air naïf et bête, mais qui ne l' est peut-être pas autant qu' on le croit) et Liz Hurley, belle à damner un saint. Une comédie d' enfer !

Publié le 25 mars 2006
Harold Ramis gagnerait à être plus connu, il nous concocte de joyeuses comédies. Ici, c'est vrai que c'est assez invraisemblable mais l'humour y est dévastateur. Si vous voulez passer une franche soirée de rigolade, n'hésitez pas!

Publié le 7 mars 2001
J'ai ris du début à la fin. Certes l'histoire n'est pas vraiment ficelée, mais alors, qu'est-ce que j'ai bien ris :-)

Publié le 5 mars 2001
je vais vous dire sincèrement ce que j'en ai pensé: j'adore liz hurley et surtout brendan fraser (même si je le préfèrais 100x plus dans la momie et georges de la jungle) mais franchement ce film est lourd... il y a des scènes avec des trucages vraiment mal faits. Les acteurs jouent divinement bien mais c'est l'histoire...

Publié le 5 février 2001
Pal mal du tout, super tronches pour Brendan Frazer.
  • 1

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