Gladiator
Réalisateur:
Origine:
- États-Unis
Genres:
- Drame
- Péplum
Année de production: 2000
Date de sortie:
21/06/2000
Durée: 2h35

Synopsis :
Le général romain Maximus est le plus fidèle soutien de l'empereur Marc Aurèle, qu'il a conduit de victoire en victoire avec une bravoure et un dévouement exemplaires. Le vieil homme, qui le considère comme son fils, aimerait en faire, après sa mort, le protecteur de Rome, mais Maximus n'a aucun penchant pour la politique. Las de guerroyer, il n'aspire qu'à retrouver sa famille. Jaloux du prestige de Maximus, et plus encore, de l'amour que lui voue l'empereur, le fils de Marc Audèle, Commode, s'arroge brutalement le pouvoir, puis ordonne l'arrestation du général et son exécution. Maximus, bien que grièvement blessé, échappe à ses assassins et regagne son domaine, où il découvre avec hrreur les corps calcinés de sa femme et de son jeune fils. Capturé par un marchand d'esclave, il est revendu comme tel au laniste (maître de gladiateurs) Proximo, et commence son entraînement dans une arène de la province de Zuccha Bar, où ses dons et son courage en font bientôt l'idole de la population locale.
Avis des internautes du film Gladiator
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Publié le 18 juillet 2000
Parti avec pleins d'a-priori positifs (enfin un peplum, et de Ridley Scott en plus...), je suis revenu déçu. On dirait que le réalisateur n'a pas trouvé le juste créneau : ou il faisait un film crédible sur l'antiquité romaine, et alors il soigne un peu plus sa documentation et évite les invraisemblances (il n'y a d'ailleurs pas que des bizarreries historiques : Commode qui se balade en armure dans ses appartements ou encore Maximus qui s'évanouit en Espagne et qui se réveille peu de temps après en Afrique du Nord. Il a le sommeil vachement lourd le gars!); ou bien il nous livrait un film de pur divertissement, dans lequel il ne faut pas se poser de questions , mais dans ce cas les dialogues shakespeariens dégoulinants n'ont rien à y faire. A voir donc pour les scènes de batailles (à part la première qui est filmée à la truelle). PS : pouce baissé pour Julien Melebeck, ses réflexions stupides (Marc-Aurèle a nommé son fils avant l'existence du meuble éponyme), son racisme primaire et sa totale méconnaissance de la stratégie militaire (tout le monde se rentre dedans de face, ça fait un max de victimes, mais tout le monde est content parce que c'est courageux et que ça fait un beau spectacle!)
Publié le 18 juillet 2000
Je n'ai pas vu ce film mais je voulais juste dire bravo à Monsieur Bechir Tahanti pour sa critique. Enfin quelqu'un qui ne cède pas au 'politically correct' de l'anti-américanisme primaire et viscéral (comme tant d'autres sur ce forum hélàs) tout en étant un vrai cinéphile sachant apprécier le bon cinéma, qu'il soit européen, américain ou iranien !. BOn c'est tout, désolée d'être hors sujet.
Publié le 14 juillet 2000
Nous revoila parti pour la bataille des classiques et des modernes. Les uns y voient un dechet de Hollywood destine a gaver les foules et les autres un film d'action exemplaire... Le debat ne sera JAMAIS cloture. Moi j'ai beaucoup aime. Non pas pour l'Histoire (quasi-absente dans le film, la vraie en tout cas) mais pour le spectacle. Je ne suis pas un spectateur exigeant, certes. J'adore Walt Disney (encore un déchet hollywoodien?), Ridley Scott mais aussi Woody Allen...et Almodovar...et Carné...et... Arretez de vous chamailler. La vraie sagesse appartient a ceux qui EQUILIBRENT leurs experiences cinématographiques. Un peu de Gladiator et un peu de Fellini...elle est pas belle la vie?
Publié le 10 juillet 2000
Agréablement suprise pour certaines choses telles que l'interprétation des acteurs et les scènes de batailles. Le fait de filmer ces scènes de si près est assez inattendu et nous plonge encore plus dans l'action (quitte à être presque éclaboussé). Un grand plus aussi grâce à la dimension psychologique donnée aux personnages, ce qui pemet de leur donner un visage plus humain. Je regrette toutefois qu'il y ait eu si peu de plans plus larges avec des décors splendides comme on en compte un ou deux seulement.
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Thierry Baudoux