tro bo ce film c le + bo film ke g vu de ma vie!!luc te le + forrrr!!hihi jmel sa lui va tro bien ce rôle !tchuuusssss

si vous voulez voir un vrai bon film poétique est émouvant, que Besson a copié trés mal,allez voir la fille sur le pont,de Patrice Lecomte avec Daniel Auteil et Vanessa Paradis. Angel A n'est qu'une pale imitation minable de ce chef d'oeuvre,autant voir ou revoir le model. Djamel n'est pas encore Daniel Auteil,l'actrice doit apprendre a jouer et à parler français(ou alors par pitié doublez la!!!),et surtout Besson n'est pas Patrice Lecomte.

je ne suis pas fan de djamel ..mais ce film m'a bouleversé par la sincérite qu'il degage et l'emotion qu'il donne ....

Pour ceux qui ne cherchent (ou comprennent) que l'action et les effets spéciaux à 150 db, passez votre chemin. Si vous savez apprécier une mise en scène superbe, une photo mi-kitsch, mi-sublime, ce film peut entrer dans les films cultes genre Diva, 37,2 le matin etc, avec des méchants drôlement laids. Sortir un peu de la réalité et reprendre la perspective angélique n'est pas inintéressant non plus. Et le message n'est pas inutile. On s'agite tellement souvent dans une frénésie de futilités que l'on oublie quelques bonnes notions de base. Et si elles sont "feel good", pourquoi pas ? PS On en vient à se demander s'il est bon de recommander un film. Le résultat ne sera-t-il pas de ne pouvoir que décevoir celui qui se laisse tenter ? Bon, vous êtes assez grands pour décider.

Décevant... du sentimentalisme bon marché sur un thème déjà trop souvent rebattu par le passé, la quête de soi, l'auto-acceptation, l'amour-propre. Pour intéréssant qu'il soit, le sujet est traité ici avec emphase, là ou, au contraire, on aurait apprécié une structure narrative favorisant plutôt l'élision, l'allégorie, la perception du thème central sans le besoin de l'asséner aussi explicitement. Certaines répliques (du genre "Tu n'as pas de passé, laisse-moi au moins t'offrir un avenir") baignent tellement dans le cliché qu'on s'interroge sur la prise de recul de Besson. D'autres scènes se traient un peu en longueur, et, même si Jamel démontre qu'il est apte à endosser d'autres costumes que celui du gentil clown naif d'Amélie Poulain, on a un peu de mal à croire au personnage qu'il campe, un brave type écartelé par des problèmes d'argent, en partie à cause des réflexes 'comiques' presque innés qu'on perçoit ci et là, tout à fait hors propos dans un film à l'ambiance dramatique. Une déception donc de la part de Besson qui s'essaye ici à un genre nouveau sans parvenir à vraiment convaincre. L'intention et la bonne volonté sont évidentes et perceptibles tout au long du film, mais il aurait fallu d'autres ingrédients à cette recette cinématographique pour la faire réellement imprégner et émouvoir le spectateur.