Les Bronzés 3: Amis pour la vie
Réalisateur:
Synopsis :
En 1978, Popeye, Gigi, Jérôme, Bernard, Nathalie et Jean-Claude faisaient connaissance en Côte d'Ivoire dans un club de vacances, le Club Med pour ne pas le nommer. Amours, coquillages et crustacés. Un an plus tard, retrouvailles du groupe d'amis à Val d'Isère. Tire fesses, fartage et pistes verglacées. Après le Club et le ski, ils n'ont cessé de se voir, se perdre de vue, se retrouver, se reperdre, se revoir, pour des semaines de vacances volées à une vie civile assommante. Depuis quelques années ils se retrouvent chaque été, pour une semaine, au Prunus Resort, hôtel de luxe et de bord de mer, dont Popeye s'occupe plus ou moins bien en tant que gérant, et qui appartient à sa femme, Graziella Lespinasse, héritière d'une des plus grosses fortunes italiennes. Que sont devenus les Bronzés en 25 ans ? Réponse hâtive : les mêmes, en pire...
Avis des internautes du film Les Bronzés 3: Amis pour la vie
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Publié le 6 mars 2006
Quelle honte, tout çà pour çà !!! Je suppose que c'est l'argent qui a motivé les acteurs a faire ce navet, parce que franchement, ce film est totalement dénué du moindre intérêt, j'ai ri une fois 10 secondes et c'est tout !!! J'aime beaucoup certains des acteurs (en particulier Gérard Jugnot)et j'espère les retrouver vite dans des vrais beaux et bons films ! 1/10
Publié le 6 mars 2006
Un très très bon moment de détente, dans le pur esprit du Splendid. Ceux qui crachent sur ce film ne doivent pas à mon avis être fans des deux premiers opus. Eh oui, chers cinéphiles, si vous vous attendiez à voir de l'humour fin et raffiné, pourquoi critiquer les Bronzés? Les Bronzés c'est avant tout des gags lourds et patauds, des nichons silliconés et des histoires de coucheries qui filent dans tous les sens. Mais le tout arrosé de jeux d'acteurs comme on les aiment. Josianne Balasko est toujours attifée comme un sac à patate, Michel Blanc toujours aussi ridicule, Clavier toujours aussi énervant! Et c'est justement ça que j'ai adoré. Pas le film français de l'année qui décrochera la plame à Cannes, juste un très bon moment d'humour sans prise de tête dans l'esprit des Bronzés. Réponse à la critique précédente : mais où vois-tu de l'homophobie que diable?
Publié le 6 mars 2006
bien que ça fasse plaisir de retrouver toute la bande, le scénare, je dis non...
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