She Hate Me

Origine:
  • États-Unis
Genres:
  • Comédie dramatique
  • Satire
Année de production: 2004
Date de sortie: 17/11/2004
Durée: 2h18
Tout public
Synopsis : Diplômé de Harvard, Jack Armstrong est cadre supérieur dans une entreprise de biotechnologie. Mais lorsqu'il dénonce les malversations financières de ses patrons, il est aussitôt licencié. Désormais considéré comme un mouchard, il se retrouve persona non grata dans toutes les entreprises. Quand son ex-compagne Fatima, brillante femme d'affaires devenue lesbienne, lui propose d'être le père biologique de son enfant et de celui de sa nouvelle petite amie Alex contre paiement, Jack entrevoit le moyen de se faire de l'argent facile. Son 'commerce de paternité' à 10 000 dollars le rendez-vous lui assure bientôt la célébrité...
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    6.3/10 12 votes - 14 critiques

Posters du film She Hate Me

Photos du film She Hate Me

Avis des internautes du film She Hate Me

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Publié le 22 novembre 2004
d'accord avec mr puck pour spike lee! c'est un bon film mellant drame et comédie, un peu long mais comportant des scènes cocasses très drôles. spike lee fait table rase de la "morale" et de la "normalité" par la dérision. ça va faire sursauter les puritains : tant mieux !

Publié le 22 novembre 2004
Beaucoup de clichés dans ce film... Le gentil employé noir héroïque se fait virer par ses méchants patrons blancs. Comme si la réalité se réduisait à un dualisme aussi simplet... En ce qui concerne les homos, il faudrait quand même être d'une grande naïveté pour croire que le noble but de Spike Lee est de combattre l'homophobie. Son film met en scène des lesbiennes en quête de maternité, mais le simple fait de dépeindre une situation existante ne veut pas dire que Spike Lee prend fait et cause pour les homos. Cela pourrait tout aussi bien être perçu comme une condamnation. Et puis, surtout, pourquoi humilier les lesbiennes en traitant leur sexualité comme quelque chose de dérisoire? Il suffirait qu'elles voient un pénis pour qu'elles oublient qu'elles sont homos et se mettent à se tortiller comme des roll-mops dans un bocal et hurlent de plaisir... quelle bouffonnerie! Spike Lee est peut-être LE défenseur de la cause noire au cinéma, mais en ce qui concerne les autres minorités, apparemment, il n'est pas aussi perspicace! Un peu de nuance n'aurait pas fait de tort à ce film.

Publié le 22 novembre 2004
Ben voila un film qui ne nous laissera pas indifférent. Soit on le prend au 1er degré et au mot à mot et je pense que l'on se prend la tête rapidement soit on le regarde comme une excellente comédie et on se marre franchement (sauf au début où l'on peut quand même réfléchir sur la "philantropie" des industries pharmaceutiques). L'histoire de 18 lesbiennes qui se font engrosser par un géniteur de 1ère classe (je devrais écrire de 1ère bourre)...fallait y penser !!! Dans notre monde animal humain cette réalité s'établie il est vrai avec des femmes hétéros...mais là le sujet aurait été trop sérieux. Merci Mr Spike Lee pour votre dérision !!!!

Publié le 20 novembre 2004
Dis, Georges Lemoine, c'est de Spike Lee que tu parles? LE défenseur de la cause noire dans le septième art!! Si pour toi, son film se résume au "noir qui ne peut réussir qu'à coup de prouesse sexuelle", c'est bien dommage...Et bien même,ne crois-tu pas que ce thème que tu épingles n'est pas en réalité une satire? Traîter l'oeuvre de Spike Lee de raciste c'est comme dire que Michael Moore a voté George W. ou que José Bové est contre les agriculteurs! Tout n'est pas blanc ou noir (et c'est le cas de le dire!), il faut un peu gratter pour comprendre la pensée de quelqu'un. Je te conseille de revoir les autres films du bon Spike avant de l'accuser de racisme...

Publié le 20 novembre 2004
Déso Mr Puke, les choses sont parfois plus subtiles que tu ne crois. Oui, c'est une problématique raciste et sexiste à l'envers: il est suggéré que le Noir va compenser l'opression exercée par de "méchants" Blancs riches grâce à compétence supposée en matière reproductive...Ce n'est pas du racisme au sens classique, mais c'est tout de même nauséabond.

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