Carnets de voyage
Titre original: Diarios de Motocicleta
Réalisateur:
Origines:
- Argentine
- États-Unis
Genres:
- Comédie dramatique
- Road-Movie
Année de production: 2004
Date de sortie:
08/09/2004
Durée: 2h06
Synopsis :
En 1952, deux jeunes argentins, Alberto Granado et Ernesto Guevara, décident de partir à la découverte de leur continent : l'Amérique latine. Ils commencent leur expédition sur une vieille moto Norton 500 de 1939, baptisée la Poderosa (la Puissante)... Ce qui débute comme une aventure prend progressivement une tournure différente. La confrontation avec la réalité sociale et politique des différents pays qu'ils découvrent altère la perception que les deux amis ont du monde. Cette expérience vécue à un moment décisif de leur vie éveillera de nouvelles vocations, associées à un désir de justice sociale.
Avis des internautes du film Carnets de voyage
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Publié le 29 mars 2005
Certes, je vis ce film le 5 décembre 2004, mais la seule chose dont je me souvienne ce fut celle d'avoir envie de sortir de la salle après 20 minutes. Le film est à mon avis une grande déception, car voir rouler une moto durant 40 minutes sur des pistes enclavées dans de majestueux paysages ne suffit quand même pas pour faire un film intéressant sur la jeunesse d'Ernesto Cheguevara et sur sa prise de conscience politique. D'autant plus que les péripéties avec la vieille moto sont pour le moins attendues et peu créatives. Franchement, je ne comprends pas comment la totalité des journalistes peuvent parler d'un chef-d'oeuvre !
Publié le 20 mars 2005
Ce film est à dévorer pour les amateurs de beaux paysages. Toute la traversée des andes est un vrai plaisir des yeux. Il nous plonge dans une amitié avec ses bons jours et ses moins bons tout en nous montrant le petit rien qui fait tout dans les relations, le fait que ni l'un ni l'autre n'est un mouton, ....à savourer...
Publié le 7 février 2005
Excellent. Pour qui est (ou a est resté) jeune, ce film ne peut que rappeler les révoltes contre l'injustice, typiques à la jeunesse. Certains vivent dans la loyauté à ces révoltes - El Ché a vécu la sienne jusqu'à un point peut-être très limite, mais sans doute en toute loyauté - d'autres les étouffes et meurent dans l'embourgeoisement ; Brel l'a chanté : "Les Bourgeois, c'est comme les cochons, disent-ils, monsieurle commissaire..." Une très bonne introduction au début de l'itinéraire d'un homme qui a marqué son temps et est resté un mythe. Quant à l'authenticité des faits évoqués, mise en doute par certains, rappelons que le film s'inspire des écrits des deux protagonistes : Notes de Voyages (Ernest Guevarra Serna, dit El Ché) et des mémoires de Alberto Granado.
Publié le 14 décembre 2004
The Motorcycle Diaries isn't bad, just insipid. Bernal stars as Che and Rodrigo de la Serna stars as Granado, two young men making their way through South America aboard a motorcycle referred to as "the mighty one." They're young doctors, but they may as well be Abercombie & Fitch models on summer vacation. For one monotonous hour, the film serves as a National Geographic tour of South America's more gorgeous locales. Pretty to look at, Salles's lulling images mean nothing. Yes, it makes sense that Che and Granado's road trip is self-centered (most journeys of this kind usually are), but you'd never know from watching the film that this is the story of Che Guevara. Completely anonymous, Motorcycle Diaries could just as easily have been called Celebrity, because this is a film that doesn't treat Che as an emancipator or a complicated revolutionary figure, but as a pretty boy all the girls (and gay boys) want to fuck. A sincere if not entirely simple-minded act of hero worship, Motorcycle Diaries further flattens Che's image, portraying him as a fragile asthmatic who can do no wrong: he saves a hurt puppy from the side of the road after Granado's bike crashes; he tells a benefactor that his novel is less than stellar; and though it may cost him a place to sleep for an evening, he nonetheless diagnoses a man's neck tumor. Though Salles understands that Che comes from a position of privilege (it's all over the early scenes in mansions and dining halls), he scarcely allows the character to ruminate on the things he had in Argentina that no one else in South America seems to have. When Che sees how the starving class suffers, he naturally weeps for them. That's sweet, but this is not someone you want to lead you into battle—instead, you want to pinch his cheeks, cop a feel, and send him to bed after putting an inhaler in his mouth.
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aurelien