Atomik Circus

Origine:
  • France
Genres:
  • Comédie
  • Science-fiction
Année de production: 2004
Date de sortie: 21/07/2004
Durée: 1h30
Tout public
Synopsis : Skotlett n'est pas une petite ville paisible comme on pourrait se l'imaginer. Elle est toujours traumatisée par la catastrophique grande fête de la tarte à la vache. James Bataille a d'ailleurs fini en prison, et cette fois-ci il s'en échappe, bien déterminer à retrouver Concia, sa fiancée qui veut devenir une chanteuse de country. Malheureusement, tout ne se passe pas comme il le souhaite... Les éléments se déchaînent contre lui : des étoiles de mer en provenance d'un autre monde se collent sur les visages des gens qui se transforment en zombies, le futur impresario de Concia, Allan Chiasse se transforme en monstre tentaculaire, sa bimbo, la sexy Kitty également, le Sam Paradiso bar est décimé... Cela paraît beaucoup pour ce petit village et pourtant ce n'est qu'un début...
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    5.1/10 142 votes - 152 critiques

Posters du film Atomik Circus

Photos du film Atomik Circus

Avis des internautes du film Atomik Circus

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Publié le 11 août 2004
le film m'a decu enormement car on ne comprend rien a l'histoire, comment les 'sortes' d'extraterrestre arrivent sur terre? En bref je me suis ennuyé et mon copain qui etait avec moi n'a pas aimé non plus.

Publié le 11 août 2004
Ah, évidemment, si on pense se trouver face à la 'nouvelle comédie familiale avec Benoit Poelvoorde', comment dire... on risque d'être déçu... Par contre, quand on a aimé des films comme Bad Taste, qu'on sait se regarder un pti Evil Dead ou ce genre de chose, ce film est nettement plus intéressant: loin du cinéma conventionnnel (oula, très loin même !) je ne peux que me ravir de constater qu'un OVNI pareil est encore possible en 2004... Par moment ça m'a fait penser à un pti Troma, des scènes lesbiennes avec des vampires en moins tout de même... Le film s'assume totalement: on construit des personnages qui seront perdus aussi bêtement que les seconds rôles avant la fin du film, y'a du sang qui gicle, avec de LA GROSSE musique trash derrière, des scènes d'humour noir, tout y est, miam ! Ca fait quoi ? 15 ans qu'on n'a plus vu un 'machin' pareil ? Réjouissance réjouissance ! Va-t-on vers une petite renaissance dans la création cinématographique ? oh mon Dieu si ça pouvait être vrai... Bon, c'est sûr que si on trouve que Navarro est à la limite du supportable niveau violence visuelle Atomik Circus risque de laisser un brin perplexe... Pour paraphraser un ami amateur de films d'auteurs bien sérieux: C'est tellement mauvais que c'en est bon ! Restez jusque la fin du générique aussi...

Publié le 11 août 2004
Je constate une fois de plus que les masturbateurs intellectuelles de mouches aiment à se faire connaître en osant renconnaître et affirmer à haute voix qu'ils ont aimé 'ça' (enfin ce film hein, pas le Stephen king)... Je rigole de la bêtise de certains. Quand je pense que ceux là même nous ferons une théorie sur la mal bouffe, les Mac do et autres conneries à 'l'américaine' qu'on nous consommons sans cesse en appréciant (pauvre ignorant que nous sommes). Quand je pense que ceux là même me diront qu'un rien me fait sourire, que je gobe tout... Décidément je rigole. Pour en revenir au film... c'est de la mer.. gnuuuuuuuuuuut. Y a rien à comprendre ( pas d'histoire), rien à aimer, rien à voir (mauvaises images), rien à garder (j'en ai presque oublier le titre). Bref, comme nous le diront les branleurs à propos des Mac do:'comment tu peux aimer ça?'. En plus de signaler 'moins de 16 ans non admis', on devrait annoncer 'moins de 15 de QI admis'. Si ça c'est pas de l' bonne critique j'y comprends plus rien!

Publié le 9 août 2004
les media en ont trop parlé, trop de pub, j'aurais du m'en douter, un navet

Publié le 8 août 2004
Nullité atomique. Pas besoin de produire un tel navet pour chercher à se démarquer du cinéma classique en visant le déjanté. David Lynch y parvient aux USA avec plus de talent et moins de gore. Poelvoorde se fourvoie, ne semble avoir été choisi que pour assurer l'engouement populaire post-podium. Effarant de nullité.

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