Ziggy Stardust and the Spiders From Mars

Origine:
  • États-Unis
Genres:
  • Film musical
  • Documentaire
Année de production: 1973
Durée: 1h30
Tout public
Synopsis : 3 juillet 1973. En plein triomphe, David Bowie suicide Ziggy Stardust sur scène, devant une foule ébahie et atterrée. De ce concert à l'Hammersmith Odeon de Londres, le mythe aura d'abord et surtout retenu l'annonce de la fin de Ziggy par Bowie lui-même, juste avant un ' Rock'n'roll Suicide ' d'anthologie, et forcément de bon aloi. À voir la tête de ses Spiders From Mars, peu de gens de l'entourage du musicien étaient au courant de l'affaire....
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Publié le 24 août 2009
Donné une seule fois à CINEMATEK ce 18.08.09, ce documentaire peu vu illustre le tout dernier concert de Bowie en tant que Ziggy Stardust, et avec les Spiders from Mars, le 3 juillet 1973 à l'Hammersmith de Londres. Outre qu'il ne devrait échapper à aucun fan de Bowie, il est très éclairant, rectifiant de fausses impressions largement répandues. Ainsi, Bowie dans sa loge, pendant les séances de maquillage et de changement de tenues, est-il très serein, simple et sans affectation, accueillant sa femme, Angie ("Hey, honey!"), Ringo Starr, Marc bolan (his boyfriend, aperçu brièvement, souriant et détendu), ou sur scène, entouré des Spiders, de Mike Garson et d'un trio de backing-vocalists, très bien dans ses bottes (et quelles bottes et chaussures!, et même pieds nus!). Bowie chante des extraits variés de sa discographie, de 'The Man Who Sold The World' à 'Aladdin Sane', sa chanson offerte à Mott The Hoople, Jacques Brel traduit par Mort Shuman ('My Death'), les Stones ('Let's Spend The Night Together') et Lou Reed/V.U. ('White Light/White Heat'). Un excellent concert, avec des Spiders survoltés, fascinant quand on pense que Bowie n'avait que 25 ans, qu'il était déjà totalement mature artistiquement, que son audace assumée avec simplicité n'était pas une pose névrosée, mais une véritable création avant-gardiste, et que c'était déjà un interprète vocalement surdoué. Un must, malgré le grain, parfois excessivement grossier, des images de concert, et certaines parties instrumentales (à mon avis...) overdubbées. Splendides images, tendant à l'abstraction, des fans en méditation transcendantale et extatique sous les lumières stroboscopiques.
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