Depuis qu'Otar est parti
Réalisateur:
Origine:
- France
Genre:
- Comédie dramatique
Année de production: 2003
Date de sortie:
07/04/2004
Durée: 1h42
Synopsis :
Eka la grand-mère, Marina la fille et Ada la petite-fille, survivent à Tbilissi, capitale charmante mais délabrée de la Géorgie désormais indépendante. Dans le vieil appartement que les circonstances les forcent à partager, l'humeur n'est pas toujours au beau fixe et les nouvelles d'Otar, fils d'Eka qui a émigré à Paris, sont comme des bouffées de rêve et d'espoir. Le jour où il décède accidentellement, Marina ne peut se résoudre à l'annoncer à Eka et avec Ada elle lui cache la chose. Le mensonge qui s'installe va bouleverser leur existence.
Avis des internautes du film Depuis qu'Otar est parti
Publié le 13 avril 2004
Le soleil, désormais au cinéma comme dans notre ciel, se lève à l'Est. Après le très beau film russe 'The Return', voici un film qui nous vient de Géorgie et qui constitue un moment de pur bonheur et de profonde émotion. Le beau visage expressif de la grand-mère Erka restera à jamais gravé dans nos mémoires comme celui de l'amour maternel, cet amour qui, selon les paroles de Marguerite Duras, est un amour 'qui ne meurt jamais'! Courez donc voir ce film....séance tenante!
Publié le 13 avril 2004
isabelle et ivan de duve sont de véritables crétins ;) ils ne savent pas ce qu'est le cinéma! apparemment ils feraient mieux de retourner regarder rtl ou tf1!
Publié le 12 avril 2004
Ce film de la réalisatrice Julie Bertucelli a ému d'autres spectateurs et non des moindres puisqu'il nous a chaudement été recommandé par notre amie Marie Lippens. Il ne nous a pas plu du tout. Des gens simples ; trop simples. De l'émotion mais de midinette. Des sentiments mais sans grandeur. Comme tous les films dont l'histoire se passe dans les pays de l'Est devenus indépendants, le misérabilisme actuel, si cher au cinéma français, remplace la beauté d'antan. Mais ce qui nous a le plus déplu dans ce film c'est le mensonge. Le mensonge, même et surtout s'il est baigné de bonnes intentions, nous est intolérable et dans ce film Marina, la fille, Ada, la petite fille et Elka, la grand-mère, mentent. Mentent pour ne pas faire de peine peut-être mais mentent. Et un film basé sur le mensonge est un mauvais film. Dans certains livres de Louis-Ferdinand Céline, comme dans Mort à crédit, le misérabilisme est présent mais Céline ne ment jamais. Et son émotion est vraie. Céline a du génie, Julie Bertuccelli en manque cruellement. Nous nous sommes donc ennuyés du début à la fin de ce film et aurions mille fois préféré voir un épisode du merveilleux feuilleton télévisé J.A.G.
ev