Les Triplettes de Belleville
Réalisateur:
Origines:
- France
- Belgique
Genre:
- Dessin animé
Année de production: 2003
Date de sortie:
25/06/2003
Durée: 1h20
Synopsis :
Champion est un petit garçon mélancolique adopté par sa grand-mère, Madame Souza. Remarquant sa passion pour le cyclisme, Madame Souza fait suivre à Champion un entraînement acharné. Les années passent. Champion est devenu un as de la 'petite reine', à tel point qu'il se retrouve coureur au célèbre Tour de France. Mais pendant la course, il est enlevé par deux mystérieux hommes en noir. Madame Souza et son fidèle chien Bruno partent alors à sa recherche. Leur quête les mène de l'autre côté de l'Océan, jusqu'à une mégalopole nommée Belleville. Là, ils rencontrent les 'Triplettes de Belleville', d'excentriques stars du music-hall des années 30 qui décident de prendre Madame Souza et Bruno sous leur aile. Grâce au flair de Bruno, ils se lancent sur la trace de Champion. Réussiront-ils à déjouer les plans de la puissante mafia française?
Avis des internautes du film Les Triplettes de Belleville
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Publié le 22 février 2006
exellent .... graphiquement tres beau... un bijoux.. pour les puriste de dessin animé.....
Publié le 28 février 2005
hum dur de dur de dire si ce film est cool mais jai aimé la musique je ne vois pas sa raison pour le festival de cannes un noraml desssin animé presque muet mais qui a des dessin comment dire afreux mais tous de meme on sacroche a l'histoire avec beaucoups de plaisir Moyen quoi
Publié le 16 décembre 2004
Les triplettes de Belleville De temps en temps on voit un film, et l'on n'a qu'un mot à la bouche: quel génie! Comment est-ce possible une telle richesse d'imagination et que l'on arrive à transposer sur écran. L'auteur nous oblige à le suivre dans les méandres de son imagination, folle il faut bien le dire. Mais avec un sens de l'observation et de la caricature hors du commun. Je songe à la cigarette roulée du Français moyen par exemple. Et puis cette qualité de dessin qui n'a d'égal que la finesse des meilleurs Walt Disney. Beaucoup d'esthétisme aussi. La mer par exemple, et son cargo géant à la quille utopiste avec le pédalo loué au prix d'un franc pour 20 minutes et qui traverse l'Atlantique ou encore le plan où l'on voit la vielle maison un peu inclinée pour pouvoir laisser passer la voie de chemin de fer à hauteur de la fenêtre. J'aimais moins par contre la progression répétée dans la montée principale de Belleville ou les plans montrant de bas en haut les tours infinies de la même ville. Géniales aussi les images de tour de France, le cabaret où chantent les triplettes, les scènes d'intérieur où l'on fait le lit ou celles où le chien monte les escaliers. Pas mal l'humour à répétition où le chien hurle à chaque passage du train, sauf qu'à la fin la répétition est un peu trop fréquente. Quand le faux camion balais se substitue au vrai pour kidnapper trois coureurs cyclistes, la ressemblance avec les mauvais des 101 dalmatiens est un peu trop forte. De même j'ai trouvé une similitude entre le projet cycliste d'une mère au sifflet et de son fils qui découpe les images vieillies des champions du début du siècle dans son journal et le projet d'un père pour son dadet de fils dans "Les convoyeurs attendent" avec Poelvoorde. La caricature des Français de la French connexion roulant en 2 CV immatriculées "in vino veritas" et arborant un nez violet est amusante. Sauf l'image des armoires à glace qui est la seule "vilaine" image du film. Le passage des membres de la mafia réunis à parier sur les trois cyclistes prisonniers est d'ailleurs le moins bon avec celui de la recette des bouffeuses de grenouilles. Passages trop longs aussi. Quand enfin le véhicule improvisé arrive à s'arracher du repaire, j'aime bien les flammèches qui se dégagent de dessous le bahut, mais à nouveau j'ai trouvé la scène trop longue. Ces quelques détails moins réussis ne devraient toutefois pas ternir la critique d'un film vraiment hors du commun et qui coupe le souffle. Dire que l'auteur a mis 5 ans de sa vie sur ce projet. On comprend, et en même temps on se dit que c'est fou. Faire ce chef d'œuvre de folie, and so what? Je m'en voudrais encore de ne pas mettre en valeur la qualité de la chanson fétiche des triplettes de Belleville. On ne comprend qu'un mot qui revient en rengaine, mais on adore. On adore aussi quand, au premier petit trépignement d'un instrument de musique improvisé comme les rayons d'une roue de vélo, nos trois vieilles folles démarrent au quart de tour pour s'enthousiasmer et nous interpréter leur chef-d'œuvre musical. On aimerait entendre ces chansons-là aussi sur les ondes de nos radios… La bande-son, où l'on entend effectivement que de temps en temps un mot en français participe à cette réalisation de génie, lui ajoute un petit quelque chose pour lui donner un caractère international. 8,5/10 Peu importe. 16.12.2004
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jbvel