Madres paralelas

Origine:
  • Espagne
Genre:
  • Drame
Année de production: 2021
Date de sortie: 01/12/2021
Durée: 2h00
À partir de 12 ans
Synopsis : Deux femmes, Janis et Ana, se rencontrent dans une chambre d’hôpital sur le point d’accoucher. Elles sont toutes les deux célibataires et sont tombées enceintes par accident. Janis, d’âge mûr, n’a aucun regret et durant les heures qui précèdent l’accouchement, elle est folle de joie. Ana en revanche, est une adolescente effrayée, pleine de remords et traumatisée. Janis essaie de lui remonter le moral alors qu’elles marchent tel des somnambules dans le couloir de l’hôpital. Les quelques mots qu’elles échangent pendant ces heures vont créer un lien très étroit entre elles, que le hasard se chargera de compliquer d’une manière qui changera leur vie à toutes les deux.
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  • 7.5/10  Critiques de lalibre.be du film Madres paralelas

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Avis des internautes du film Madres paralelas

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Publié le 3 décembre 2021
A 70 ans, Almódovar semble se rendre compte que la transmission, la tradition, le passé sont essentiels dans la vie des Hommes - surtout des femmes d'ailleurs - contrairement à ses allègres points de vue du temps où il était jeune et dynamitait allègrement le système (en gardant il est vrai de jolies mémoires). Et donc, la mémoire de la guerre civile, la transmission par l'utérus et tout ce genre de choses... D'où une longanime hitoire de bébés des plus mignons transpirant le sucre et les couleurs vives faisant son copyright avec des femmes alternant entre la féminité assurée et le transgenre rampant - lesbianisme assuré, c'est dans l'air du temps, le tout encadré des plus maladroitement entre une fosse commune de Républicains ignoblement assassinés par des phalangistes (historiquement vrai) et une scène dont on espérait être seulement témoins par prétérition, mais bien assumée par (spoiler) des squelettes superbement mis en scène et - on n'y croyait pas ) des corps entiers bien alignés, comme à l'exercice. Le tout très bien emballé, évidemment. Est-ce que je me trompe, ou le numérique m'a réellement montré des images d'une netteté tellement plus froide que celle d'une pellicule ? Ce qui ne m'a pas trompé, c'est le grand ennui que ce film m'a inspiré.
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