Les Invités de mon père
Réalisateur:
Synopsis :
Lucien Paumelle a toujours eu des convictions fortes. Médecin retraité, il reste un homme d'action, réputé pour son implication dans de nombreuses causes humanitaires. Son engagement le conduit jusqu'au mariage blanc avec une jeune femme moldave, Tatiana, pour lui éviter l'expulsion. Mais ses enfants, Babette et Arnaud, s'aperçoivent rapidement que le comportement de leur père n'a plus grand-chose à voir avec les principes qu'il a toujours prônés : malgré ses 80 ans, Lucien aurait-il succombé au charme de sa flamboyante épouse ?
Avis des internautes du film Les Invités de mon père
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Publié le 17 avril 2010
Entièrement d'accord avec pekka ! Je rajouterais juste que la fin est un peu abrupte et peu soignée sauf la toute dernière scène. Et c'est vrai qu'à force de toucher beaucoup de sujets, la réalisatrice reste assez superficielle sur le fond.
Publié le 17 avril 2010
Entièrement d'accord avec pekka ! Je rajouterais juste que la fin est un peu abrupte et peu soignée sauf la toute dernière scène. Et c'est vrai qu'à force de toucher beaucoup de sujets, la réalisatrice reste assez superficielle sur le fond.
Publié le 17 avril 2010
Entièrement d'accord avec pekka ! Je rajouterais juste que la fin est un peu abrupte et peu soignée sauf la toute dernière scène. Et c'est vrai qu'à force de toucher beaucoup de sujets, la réalisatrice reste assez superficielle sur le fond.
Publié le 16 avril 2010
Dans le sous-genre (sans connotation négative) "comédie de moeurs française en milieu bourgeois", voilà une authentique réussite. On rit vraiment beaucoup, de façon assez fine, et pourtant le film ne maltraite aucun de ses personnages, tous complexes et touchants. Aucun manichéisme non plus dans les sujets graves qui servent de toile de fond (immigration, mariage blanc, exploitation sexuelle, relations familiales et conjugales, vieillesse, solitude...). Pour un film français sur de tels sujets, on est même surpris de ne pas subir de moralisme politiquement correct!... L'interprétation est succulente (Luchini, Aumont,...) et constitue l'un des grands atouts ce film. Reste, si l'on veut faire la fine bouche, peut-être un manque de distance à l'égard d'un milieu sociologique très précis (la bourgeoisie - professions libérales - éclairée et dénuée de tout souci financier), et l'impression que toute cette finesse d'analyse et de description ne fait finalement pas beaucoup avancer le schlimilimili, le schlim... bref le débat, quoi.
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Nrj