Mesrine : L'ennemi public n°1
Réalisateur:
Origine:
- France
Genres:
- Crime
- Drame
- Biopic
Année de production: 2008
Date de sortie:
19/11/2008
Durée: 2h10
Synopsis :
Mesrine, l'un des plus grands gangsters français, a marqué le public comme la presse dans les années 70. Inspiré de son roman autobiographique écrit en prison, le film, en deux parties, raconte les aventures de celui qu'on surnommait 'l'homme aux 100 visages'.
-
2.5/10 Cote de du film Mesrine : L'ennemi public n°1
-
2.5/10 Cote de du film Mesrine : L'ennemi public n°1
Actualités du film Mesrine : L'ennemi public n°1
Les Ch'tis snobés par les César
Mesrine et Entre les murs sont les favoris pour la cérémonie parisienne du 27 février
Avis des internautes du film Mesrine : L'ennemi public n°1
- 1
Publié le 20 décembre 2008
Moins interpellant que le premier volet mais réalisé avec beaucoup d'énergie.
Publié le 28 novembre 2008
Autant la première partie m’avait laissé sur ma faim, autant celle-ci m’a beaucoup plu. Bon, il est un fait qu’à la sortie du film, on n’en sait toujours guère plus sur la véritable personnalité de Mesrine (affabulateur? manipulateur de génie? révolutionnaire ou anarchiste?...) mais c’est tellement bien filmé - les plans se succèdent voire s’entrechoquent, donnant une impression de nervosité et de dynamisme qui manquaient cruellement à la première partie. Il faut aussi dire que, cette fois, les seconds rôles sont non seulement plus étoffés mais également bien mieux interprétés: je pense surtout à Mathieu Amalric (absolument superbe) mais également à Samuel Le Bihan et, dans un rôle caméo, à Gérard Lanvin. Vincent Cassel est pareil à lui-même, à savoir tout bonnement époustouflant. Son charisme est ici tel qu’il parvient presque à rendre Mesrine sympathique - ou en tout cas moins antipathique - sans jamais heureusement tomber dans la caricature du héros mal-aimé ou incompris. En fait, ce film rappelle les grandes années du polar à la française, avec des dialogues taillés au couteau, de bonnes scènes d’action qui ne frôlent jamais la surenchère (si… chère aux américains) et une musique qui se fait tantôt discrète tantôt vient renforcer le propos. Bref, une bonne surprise.
- 1
jfs