Hello, c'est un bon film CATASTROPHE... pas un film de réflexion... Les effets spéciaux sont géniaux...quelques longueurs et des "mamours" malvenus car pas crédibles vu le contexte (ben tout s' écroule autour d' eux ! )mais très "américains"... Il ne faut pas attendre plus de ce genre de divertissement... c'est bien fait, je ne me suis pas ennuyé... bon, le coup du porte avion sur la maison blanche, faut oser quand même... tous les effets sont en virtuel... nous sommes loin de Star Wars et des maquettes... à part le fait que la raison nous montre que ce n' est pas vrai... la puissance du virtuel pose question sur la véracité de ce que nos yeux perçoivent... bientôt des films sans acteurs ?

Un bon divertissement catastrophe ou en prend plein les yeux (c'est pour ca qu'on vient, pas pour le scénar), du 2e degré qui fait rire, des ptis clins d'oeil ici et la a d'autres prophéties, ou a d'autres films et une zolie morale finale qui mériterait qu'on s'y attarde.♦ Non franchement, sympa ce pti 2012 ^^

j'ai été voir ce film en connaissance de cause, je savais plus ou moins à quoi m'attendre. Beaucoup d'effet spéciaux, pas de scénario plausible. Disons que la première partie du film ne m'a pas dérangée, avec des effets de qualité, même si parfois un peu répétitifs (3 scènes de décollage d'avion...) Par contre, la fin est une véritable catastrophe. Trop longe, trop moralisatrice et trop ridicule. Dommage

comment s'emmerder un après midi (alors qu'on préférerais être au boulot ! ) réponse : aller voir une KOLOSSALE Cornic(h)onnerie americano-teutonne (ach ! wunderbar roland emmerich ) pendant 148 minutes ! et en plus j'étais averti, j'ai vu toutes ses autres biesteries cinématographiques ! si la fin du monde est pour 2012, que celle de roland emmerich soit plus rapide ! et je réponds déjà à ceux qui vont traiter de vieux grincheux qui n'aimerait que les films d'ingmar bergman, je suis cinéphage, j'adore le cinéma d'action, le cinéma catastrophe et le film populaire ! mais çà !

Opus de premier choix pour les amateurs du genre de cinéma qui ne requiert des neurones guère plus d'activité que celle nécéssaire à intérioriser un album d'Astérix. Effets spéciaux à gogo, images de synthèse bien lèchées, archétypes en guise de personnages et morale digne du niveau d'un rayon littérature de vacances en promotion d'été chez Carrefour. Mais même en s'attendant à tout cela, on espérait naîvement davantage de ce nouveau cru du réalisateur Emmerich, qui, ici, semble avoir, par manque d'inspiration trop évident, pioché ses idées dans la plupart des autres films du genre, dont certains de son propre cru. "2012" est un condensé hagard qui empunte un peu à Titanic, un peu au "Jour d'après", et beaucoup à "Tremblement de Terre", le tout saupoudré d'une dose de réalisme aussi pétrie de bonnes intentions initiales qu'aussi peu convaincante en finale qu'un discours de promesses électorales en Belgique. Bref, un nanar de première, à réserver aux amateurs pour qui le cinéma peut se contenter d'être une bonne grosse soupe visuelle assez salée que pour réussir à masquer l'insigne faiblesse du reste de ses constituants. En cela, "2012" est un autre de ces blockbusters qui, surfant sur la vague de la mode des images de synthèse qui permettent d'impressionner en faisant oublier le reste, jalonnent désormais la production cinématograpghique outre-atlantique. On ne peut qu'espérer que la contagion en épargne l'Europe.