Goya's Ghosts

Origines:
  • Espagne
  • Royaume-Uni
Genres:
  • Drame
  • Biopic
Année de production: 2007
Date de sortie: 30/05/2007
Durée: 1h57
Tout public
Synopsis : Espagne, 1792. L'Inquisition fait rage. Inès, la jeune muse du peintre Francisco Goya, se retrouve accusée d'hérésie par un prêtre manipulateur et est jetée en prison. A sa libération, lors de l'invasion de l'Espagne par l'armée française, elle n'a qu'une idée en tête: retrouver Goya.
  • /10 Vous devez être connecté à votre compte pour coter ce film
    6.4/10 13 votes - 12 critiques
  • 5.0/10  Cote de lalibre.be du film Goya's Ghosts

  • 5.0/10  Cote de DH.be du film Goya's Ghosts

Posters du film Goya's Ghosts

Photos du film Goya's Ghosts

Avis des internautes du film Goya's Ghosts

Vous devez être connecté pour ajouter une critique Créez un compte
Publié le 27 juin 2007
Très bon film historique, même si c'st une fiction ! Des comédiens au top niveau . Une ambiance à la Goya (voir ses tableaux !) Quand les critiques de cinema vont-ils apprendre à avoir de la culture pour faire apprécier autre chose que des parts de marché !

Publié le 11 juin 2007
Belle évocation historique aux personnages très intéressants. N. Portman est, comme souvent, éblouissante! Par contre le choix de l'anglais dans les dialogues est mauvais et plombe le tout. C'est vraiment dommage. Au total, un film avec de beaux décors, de superbes peintures, des personnages extravagants et des costumes partout. Agréable mais pas grandiose.

Publié le 5 juin 2007
Bien sûr, je savais avant d'entrer dans la salle qu'il ne s'agissait nullement d'un biopic de Goya; bien sûr, je garde à l'esprit que les attentes que l'on a sur un film ne sont jamais totalement remplis et qu'il suffit d'un rien pour qu'elles virent à la déception, mais il n'empêche que j'ai éprouvé la plus grande difficulté à m'orienter dans la tapisserie entremêlés de fils laissée par le réalisateur. Les scènes d'humiliation et de torture, soit toutes celles qui sont liées à la fameuse "question", sont certes touchantes, néanmoins l'émotion ne vient pas du jeu des acteurs, mais bien de la cruauté des situations. Je passerai sur le motif rabattu de l'intolérance religieuse, pour ne retenir - in fine - qu'un élégant désordre qui peine à susciter empathie et intérêt. Et puis, bon, on espérait autre chose de celui qui a réalisé AMADEUS ! Cette histoire de fantômes de Goya, on comprend ce que Milos Forman veut dire (culpabilité du peintre de n'avoir pas agi pour sauver Ines, culpabilité de trop fermer les yeux sur ce qui l'entoure), pourtant, on aurait voulu plus de passion fougeuse, d'énervement et non la sensation de dériver en barque sur un placide lac de montagne en tournant la tête de droite à gauche pour admirer les changements de paysage.

Publié le 4 juin 2007
Film très intéressant même si il y a quelques longueurs dans la première partie. Le film brosse plus une peinture de l'époque que de la carrière de Goya. L'inquisition et les bouleversements que créa la révolution française à cette époque sont très bien traités. Le casting est très bon même si je trouve que pour une fois, Javier Bardem en fait un peu trop. Et Nathalie Portman est une actrice intéressante qui n'hésite pas à prendre des risques que ce soit dans ce film ou dans "V for vendetta". Un film que je conseille surtout en cette période où les bons films ne sont pas légion.

Publié le 3 juin 2007
Film intéressant, mais décevant si on prend en considération la qualité exceptionnelle à la fois du sujet et du réalisateur. Naturellement, on se prendre au jeu des comparaisons avec "Amadeus", mais là n'est pas le principal problème. Forman a fait des bonnes choses très différentes. Celle-ci n'en fait pas partie. Les acteurs sont excellents (spécialement Bardem et Portman). La reconstitution de l'époque est très réussie aussi. En revanche, le synopsis débouche plutôt sur un documentaire sur l'Espagne de 1790-1820. Dans ce cadre, par surcroît, le personnage du frère Lorenzo éclipse Goya, qui devient un simple reflet sans relief de la période. Par ailleurs, les personnages se révèlent un peu superficiels (ainsi, même si celui de Lorenzo est très bien interprété, ses motivations demeurent elles-mêmes très brumeuses). C'est un étrange paradoxe de voir Goya, peintre fantastiquement moderne, plein de tensions, de passions, devenir une sorte de miroir plat du passé.

Suivez Cinebel