Elizabeth: L'Age d'or
Titre original: Elizabeth: The Golden Age
Réalisateur:
Synopsis :
"The Golden Age" retrace l'histoire de la Reine Elisabeth I face aux convoitises de son trône et à la trahison familiale. Prenant pleinement conscience des changements religieux et politiques de la fin du 16e siècle en Europe, Elisabeth voit son pouvoir ouvertement contesté par le Roi d'Espagne Philippe II. Se préparant à partir en guerre pour défendre son empire, Elisabeth lutte pour maintenir l'équilibre entre les anciennes obligations de la cour et une vulnérabilité inattendue dans son amour pour Raleigh. Mais cet homme reste interdit à une reine qui s'est promise corps et âme à son pays. Dans l'impossibilité et réticente à poursuivre son amour, Elisabeth encourage sa dame d'honneur favorite, Bess, à se lier d'amitié avec Raleigh afin de le garder à proximité. Mais cette stratégie force Elisabeth à être témoin de leur intimité grandissante.
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5.0/10 Cote de du film Elizabeth: L'Age d'or
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7.5/10 Cote de du film Elizabeth: L'Age d'or
Avis des internautes du film Elizabeth: L'Age d'or
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Publié le 23 janvier 2008
Simplement sublime !!! eblouissant !!! le premier était passionnant (Elisabeth) et esthétiquement parfait - celui-ci est directement dans la lignée et se regarde avec infiniment de plaisir !!!! dommage que l'on ne trouve pas de DVD ici en France .... par contre je l'ai trouvé évidemment en Angleterre - bien sûr - ainsi que le premier .... Ahhhhhh France quand te décideras tu a être une locomotive innovante et moins frileuse et peureuse !!!!
Publié le 11 janvier 2008
Comme l'image finale l'indique, Elisabeth I était née en 1533. Les bons mathématiciens auront aisément calculé qu'elle avait par conséquent 55 ans à l'époque de l'invincible armada. Le réalisateur a préféré prendre Kate Blanchett, plutôt qu'offrir un nouveau rôle à la Judi Dench de "Shakespeare in love". Dans la même veine (anti-historique), le conflit entre l'Espagne et l'Angleterre est présenté comme l'apex du conflit entre le catholicisme et le protestantisme... 70 ans après l'affichage des thèses de Luther. Les manèges entre la reine et ses favoris sont fortement édulcorés, alors que les costumes sont parfois généreusement dénudés. L'invincible armada n'a pas, pour l'essentiel, été détruite au large des côtes anglaises. Elisabeth ne parlait pas l'allemand, langue patoisante et plébéienne d'un pays qui n'existait pas.
Tout le monde a naturellement le droit de réinterpréter l'histoire, même de façon violente. La question est ici : pour quoi faire ? On peut faire de l'esthétisme mieux qu'en reconstituant péniblement une armada de carton pâte. On peut aussi faire de la psychologie sans inventer un personnage de carton pâte en deux dimensions. Bons décors, bons acteurs, belles images, mais une machine qui tourne presque complètement dans le vide.
Publié le 3 janvier 2008
Comment une femme peut-elle renoncer à l'amour et à la maternité pour endosser le destin d'un pays ? Cette question (que l'on ne se pose guère lorsqu'il s'agit d'un roi), semble tarauder le réalisateur qui en avait déjà fait le thème central de son premier film consacré à la reine vierge. Mais alors que le premier volet de cette fresque était un petit bijou baroque, novateur et émouvant, ce deuxième opus s'avère ici redondant et ampoulé. Le goût de la belle image (lourdement) signifiante, le lyrisme écrasant de la mise en scène et de la musique éclipse aussi bien l'histoire que les personnages. Seule Cate Blanchett, en actrice de talent, parvient, par la finesse de son jeu, à sauver le film d'un formalisme pesant.
Publié le 1 janvier 2008
Je n'ai pas vu le premier Elizabeth (shame on me) mais cette suite m'a particulièrement plu. Je m'attendais à être impressionné par l'invincible armada, les batailles ... mais finalement c'est Cate Blanchet qui a surpassé mes attentes : une Elizabeth haute en couleurs, très humaine et très puissante. Excellent!
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Minimoi