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Réouverture du Palace: Les événements à ne pas rater !
Publié le 24 juin 2020 dans Actu ciné
Le 1er juillet, le Palace rouvrira ses portes avec une riche sélection de films, des événements à ne pas manquer (notamment un Grand entretien avec David Cronenberg) et une terrasse ensoleillée !
A côté des films qui (re)trouveront le chemin des salles le 1er juillet (Jumbo, L'Odyssée de Choum, Lynn + Lucy, Oleg, Parasite - à découvrir notamment dans une version en noir et blanc, mais aussi les versions restaurées de films cultes tels que Le Miroir de Tarkovski, Dead Ringers (Faux-semblants) et Videodrome de David Cronenberg), le Palace vous a concocté une série d'événements à ne pas rater !
* Projection de La Bonne Epouse en présence du réalisateur Martin Provost le 2 juillet à 20h15
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* Le Palace vous offre la chance de remporter des tickets pour le Plan B de Zwangere Guy "Ceci n'est pas un livestream !" le 10 juillet à 20h. En effet, tout le monde attendait avec impatience le concert du patron du rap bruxellois ce printemps à l'AB, mais le 10 juillet, il prend le contrôle de l'AB avec son plan B !
* Projection de Martin Margiela: In His Own Words, en présence du réalisateur Reiner Holzemer le 14 juillet à 20h15
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* Et enfin, à l'occasion de la sortie de la version restaurée de Crash le 22 juillet, le Palace vous invite à un Grand Entretien avec David Cronenberg en direct de Toronto le 18 juillet à 19h45. Celui-ci sera animé par le cinéaste belge Fabrice du Welz depuis le Palace. La rencontre prendra place en anglais et sera suivie de la projection de la version restaurée du film, Prix Spécial du Jury au Festival de Cannes en 1996.
Fréquemment salué comme l'un des plus grands et des plus influents réalisateurs au monde, David Cronenberg a reçu les éloges de la critique et une reconnaissance internationale. Surprenante et plurielle, sa filmographie qui est grandement influencée par la psychanalyse questionne le corps autant que le devenir de la société et des individus.
Fabrice du Welz livre des œuvres toujours très personnelles. Le goût de la mort et une sensorialité instinctive imprègnent toute son oeuvre, de son premier long métrage Calvaire à Adoration, sorti en janvier dernier. Il partagera avec nous sa vision de cinéphile et de cinéaste de l'oeuvre de Cronenberg.
Fabrice du Welz livre des œuvres toujours très personnelles. Le goût de la mort et une sensorialité instinctive imprègnent toute son oeuvre, de son premier long métrage Calvaire à Adoration, sorti en janvier dernier. Il partagera avec nous sa vision de cinéphile et de cinéaste de l'oeuvre de Cronenberg.
