Galoul

Masse Philippe
  • Membre depuis le 05/05/2006
  • Nombre de critiques : 192

Film préféré de l'utilisateur Masse Philippe

Publié le 27 septembre 2016
Le film souffre de la comparaison avec The Revenant ou la série Deadwood, car ici, à l'Ouest rien de nouveau. Au contraire le film est très fidèle aux westerns classiques et aux réalisations de Leone. A noter de nombreuses connotations religieuses : église brûlée, mercenaire ayant lu la Bible,scène faisant référence au martyr de Saint Sébastien, grande croix en arrière plan,... Les situations et les personnages sont assez stéréotypés mais Fuqua livre un travail très soigné avec même pas mal d'humour dans les répliques, on peut donc dire qu'en visant le grand public, à l'instar de ses héros, il n'aura pas raté sa cible.

Publié le 29 juillet 2016
C'est le Bon gros livre d'images dont on aime tourner les pages pour savourer l'imaginaire et les illustrations. Mais c'est aussi un Bon petit film parfois un peu mièvre et trop gorgé d'images colorées destiné à un public d'enfants. Le respect témoigné à la Cour d'Angleterre est irritant et d'un autre âge.

Publié le 2 juillet 2016
La recherche visuelle est très soignée et l'aspect esthétique atténue le côté provocateur de certaines scènes. Les actrices sont des beautés de papier glacé qui glacent réellement. La bande son fait corps avec les images.Mais si on n'entre pas dans le film, the neon demon deviendra vite the néant dément.

Publié le 2 juillet 2016
Les personnages sont attachants, les messages proposés sont positifs, il y a de l'humour, de l'émotion, une grande qualité graphique.Il manque peut-être un rien d'audace car les réalisateurs ne naviguent jamais vers des eaux inconnues.

Publié le 5 avril 2016
Le film est tout le contraire d'une série comme "Esprits criminels" qui aurait mis en images le rapt ( ici l'histoire commence quelques jours avant l'évasion ) et l'enquête permettant de retrouver ces malheureux. La première partie du film raconte la vie dans cet espace uniquement éclairé par une lucarne donnant sur le ciel et la seconde s'interroge sur les problèmes de réadaptation à la vie normale. Un sujet pareil aurait pu facilement virer vers le glauque ou verser dans le mélodrame mais il n'en est rien.Il y a même une certaine poésie qui émane des images.

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