Tideland

Origines:
  • Royaume-Uni
  • Canada
Genre:
  • Fantastique
Public: Tout public
Année de production: 2005
Date de sortie: 28/06/2006
Durée: 2h02
Synopsis : Après la mort de sa mère par overdose, une petite fille de 10 ans, Jeliza-Rose, quitte la ville et suit son père rockeur et héroïnomane qui l'emmène vivre dans la ferme familiale. Le retour aux sources s'avère décevant, et pour fuir cette réalité amère, l'enfant s'évade rapidement dans un univers fantastique peuplé par son imaginaire débridé...
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    5.3/10 13 votes -  critiques
  • 2.5/10  Cote de lalibre.be du film Tideland

  • 7.5/10  Cote de DH.be du film Tideland

Avis des internautesdu film Tideland

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Publié le 11 juillet 2006
Je viens d'aller voir ce dernier opus en date de Mr Gilliam .. et je comprends que l'on n'en sorte pas indifférent ... soit que l'on veuille au plus vite oublier cet oeuvre glauque .. soit qu'on la laisse macérer dans un coin maudit de son cerveau pour y trouver finalement cette saveur profonde qu'ont les liqueurs qui vieillissent bien. Car à bien y réfléchir, il s'agit ici d'une pure fable dont l'esthétique Gilliamesque toujours extraordinaire désamorce in fine l'horreur du propos. La laideur et la mort s'affichent comme de dérisoires et excessifs pantins qui ne font pas plus peur que la sorcière que l'on poussait vivante dans le four des contes de mon enfance. Bien sûr, ce monde qui entoure la gamine, pétri d'égoïsme, indifférent et pathétique, comme résigné à son sort nous effraie car il est un peu le miroir de notre société qui doute de tout et qui recherche l'enchantement dans ces plaisirs illusoires ou dans l'oubli. Mais la petite (et extraordinaire) Jeliza-Rose nous ouvre sans angélisme une voie qui est celle du rêve et de la sublimation de la réalité... si absurde soit elle. C'est déjà ça, non ?

Publié le 11 juillet 2006
SOS Film à l'agonie... Ca commençait bien pourtant: des gueules qu'on reconnaît fugitivement, une gamine hypnotisante de grâce, un univers à la fois glauque et poétique. Soudain, fuite de la mort vers un Vert Paradis. On s'interroge: nouveau départ, rédemption, retraîte buccolique? Que nenni! Malgré des personnages intriguants et des idées à la pelle, le film sombre dans un bourbier putride et nauésabond. Three Burials (TL Jones) avait déjà montré récemment la cohabitation avec la mort en décomposition. Mais là où, tout en dérangeant, le propos servait intelligemment l'histoire, il se révèle ici irrévérencieusement choquant! Toute tentative de tempérer la progression de ces relents fétides s'avère inutile: les richesses scénaristiques, la prouesse des acteurs, certaines images féériques, rien ne parvient à annihiler en nous cet écoeurement qui nous prend à la gorge. Quant à la tendresse vaguement incestueuse qui naît entre cette enfant trop vite grandie et cet adulte infantilisé, elle aurait pu nous toucher dans un tout autre contexte. Là elle ne fait que rajouter à notre malaise grandissant...En résumé, un foisonnement de trouvailles qui s'enlisent dans un marécage puant. Conclusion: Poésie et putréfaction ne font pas bon ménage.

Publié le 10 juillet 2006
Après un bon début, le film sombre ensuite dans une série de répétitions et devient vite lourdingue. On est plus près ici du Guilliam de "Fear and loathing in Las vegas" que de ses meilleurs films. Cependant, certains passages valent le déplacement. A vrai dire, c'est étrange, car c'est un film que j'ai envie de détester mais je n'y arrive pas. C'est tout de même du cinéma de qualité et orignal avec pleins de défauts, certes mais qui méritent tout de même le coup d'oeil pour l'inventivité, la réalisation et l'athmosphère très spéciale.

Publié le 3 juillet 2006
Les films de T. Gilliam ne font pas exception dans leur traitement visuel... à l'exception de celui-ci. Si l'on retrouve la patte "du maître" on y retrouve aussi une atmosphère lourde, nauséabonde, pénible. Une sorte de cocktail malsain sans réel fond ni crédibilité même fantastique. Un délire sans boussole, comme si le réalisateur avait tout filmé du point de vue d'un drogué total... le tout est tellement lourd qu'on fini par vouloir sortir de la salle. Bravo néanmoins pour la jeune actrice, je me demande comment elle a fait pour jouer avec des gens aussi fous :-) *** La pub vous manipule, boycottez-là ***

Publié le 2 juillet 2006
perplexitée...... étrangeté malaise joyeux sombre noir éclairé ce film est ....étrange....masain à la foix et très beau la jeune actrice joue magnifiquement, l'histoire est d'un sombre sombre.... candide et perverse. uen petite fille qui croit aux fées ,qui joue avec ses poupées mais qui en même temps se prend d'affection pour un être diminué ..et même plus que d'affection. de vrais baisers avec la langue ,elle demande, moi aussi je me dmeande jusqu'ou peut on aller dans un film . tiré de la réalité? mais cet enfant ne vis pas dans la réalité... des parents junkies ,un père qui l'embarque ,sans faire de sentiments,à lam ort de la mère de Jeliza-Rose, une enfant qui ne voit que les chocolats laissés pae celle ci. une enfant qui aide son père à se shooter et qui ne trouve pas étrange de vivre dans une bicoque au milieu du grand nul part.... une enfant qui se réjouit d'un accident...... étange ce film ,tellement étrange et dérangeant...

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