The Fountain

Origine:
  • États-Unis
Genres:
  • Drame
  • Romance
Public: Tout public
Année de production: 2006
Date de sortie: 07/03/2007
Durée: 1h36
Synopsis : Espagne, XVIe siècle. Le conquistador Tomas part en quête de la légendaire Fontaine de jouvence, censée offrir l'immortalité. Aujourd'hui. Un scientifique nommé Tommy Creo cherche désespérément le traitement capable de guérir le cancer qui ronge son épouse, Izzi. Au XXVIe siècle, Tom, un astronaute, voyage à travers l'espace et prend peu à peu conscience des mystères qui le hantent depuis un millénaire. Les trois histoires convergent vers une seule et même vérité, quand les Thomas des trois époques - le guerrier, le scientifique et l'explorateur - parviennent enfin à trouver la paix face à la vie, l'amour, la mort et la renaissance...
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    6.3/10 11 votes - 15 critiques
  • 5.0/10  Cote de lalibre.be du film The Fountain

  • 5.0/10  Cote de DH.be du film The Fountain

Avis des internautesdu film The Fountain

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Publié le 12 mars 2007
" The Fountain"... ou peut être devrais je dire" The Fountage de gueule" ! Pourquoi faire des films quand on a rien à dire? Y a t-il une loi aux states qui oblige les gens à écrire des scénarii et à tourner des films? "The Fountain"... typiquement le genre de film auquel on ne comprend rien tout en se fichant de ne pas comprendre. Un régal de film bête et creux, onaniste, vain, inutile et prétentieu. Un must. A voir...pour le croire.

Publié le 9 mars 2007
Bon, voici mon avis un peu plus argumenté suite à une seconde vision. Fable métaphysique à la portée immense mais sobre et intimiste dans sa mise en scène, The Fountain n'est rien d'autre qu'une expérience cinématographique unique en son genre, grâce à un festival d'émotions à faire pleurer les spectateurs les plus sensibles et aussi grâce à un esthétisme à couper le souffle (jamais une telle photographie ne m'a parue aussi magnifique depuis longtemps) et des acteurs habités par leur personnage : Hugh Jackman confirme son immense talent et montre qu'il est fait pour jouer des rôles dramatiques, Rachel Weisz en plus d'être divinement belle est tout simplement fabuleuse, apportant au film l'émotion et la grandeur qu'Arronofsky voulait donner. Même si The Fountain mérite plusieurs visions afin de mieux le comprendre, il n'est rien de plus que la plus belle histoire d'amour filmée depuis bien longtemps. Une oeuvre unique, à voir impérativement pour découvrir un cinéma nouveau, un cinéma qui bouleversera les générations futures.

Publié le 8 mars 2007
Hello, Je suis partagé vis à vis de ce film. Ce qui est certain c'est que ce n'est pas une oeuvre pour les amateurs d'un bon ciné le dimanche en famille ou avec madame ;-). je vois plus cela comme une suite de peintures à la Dali mis en oeuvre version Kubrick. C'est plus une série d'émotions de toute sorte et de questions sur la vie, l'univers, leurs limites. L'histoire en elle-même est parfois très confuse, on a du mal à suivre le fil conducteur. Pourtant il est là, cette notion de quête nous guide à travers le film, à travers les âges, c'est la passion qui nous transporte dans le monde du réalisateur. De ce fait, les repères dans le temps sont très compliqués mais on ne peut s'empêcher d'applaudir justement les transitions temporelles inédites: les scènes se confondent à travers les périodes d'une facon que je n'avais vu au cinéma. Le souvenir permet le transfert, le souvenir à travers l'émotion. Peut-être peut-on dire que Darren a réalisé un moins bon film si on compare a Requiem for a dream ou PI et d'un point de vue "grand public". Mais si on considère cette réalisation comme une oeuvre d'art alors pour moi c'est totalement réussi. Pour les grands amateurs de cinéma, vous ne pouvez pas rater cette nouvelle oeuvre d'un genre inédit ! pour les autres je vous le déconseille...

Publié le 7 mars 2007
Difficile d'en parler longuement étant donné qu'une seconde vision est nécessaire mais ce film est une expérience unique aux allures kubrickiennes. Arronofsky est un génie qui vient de signer un chef-d'oeuvre inoubliable (mais comment les torchons de la presse écrite ont pu descendre un tel film ? Un décrassage des yeux serait de mise).

Publié le 29 décembre 2006
On se demande franchement pour qui Darren Aronofsky tourne… Pas pour le grand public, c’est un fait. Non plus pour une élite intellectuelle qui, au regard des critiques, ne semble pas s’y retrouver. Alors pour qui ? Déjà pour lui, six ans pour pondre un tel chef d’œuvre d’autosuffisance c’est un signe ! Il s’adresse vraisemblablement aussi à quelques clones qui pensent que la vie repose sur une essence de spiritualité intouchable, totalement factice et chimérique. Il serait inutile de raconter l’histoire de ce film, elle ne tient qu’en un pitch de deux lignes, le reste étant un habillage prétentieux, précieux et assurément accablant. Tout y passe, des croyances séculaires Maya à celle de la bible. On y discerne aussi toute l’imagerie d’Epinal celte à la sauce manga que l’on trouve dans toutes les boutiques spécialisées. Face à un tel manque de simplicité, on en viendrait presque à se dire que Dan Brown est mille fois plus doué dans le genre ! Certes Aronofsky sait duper le spectateur par une mise en scène savamment et intentionnellement compliquée. Cela tient presque à un cinéma expérimental. L’action est décomposée en un montage redondant, les images sont stylisées à outrance et es couleurs surexposées. Quant aux effets de réalisation les abus de travelling avant ou arrière donnent le tournis, les incursions de formes géométriques dans presque tous les plans épatent au début mais viennent très vite gaver la rétine. Il faut ajouter à cela une bande originale aussi lancinante qu’hyper dérangeante… Et l’on pourrait continuer ad libitum. De ce pensum new age vaguement branché, arrosé d’essences psychédélique, personne n’en sort indemne. Pas même les acteurs qui malgré leurs efforts, voire leur talent (?), ne réussissent à dégager aucune émotion. Un comble ! Totalement abscons dans ses intentions, « The Founain » délivre à son insu un message clair, mieux vaut prévenir que guérir… Cela s’applique à ceux qui voudraient le voir, mais aussi à ce foutraque réalisateur qui aura bien du mal à se relever d’un tel gâchis.

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