robert

Robert
  • Membre depuis le 07/06/2006
  • Nombre de critiques : 4
  • 1
Publié le 24 juillet 2007
totalement d'accord avec GH, la bd est franchement mieux!! les touches "d'humour" beaufs et faciles gâchent l'adaptation et la rendent plus grand publique, ce qui est plus ou moins inévitable pour une adaptation cinématographique d'un livre ou d'une bd. Bref, si vous avez aimé Persepolis le film, vous adorerez la BD, elle demande juste de faire l'effort de la lire.

Publié le 7 juin 2006
Je ne peux même pas dire que j'ai été déçu, je ne m'attendais pas à un film remarquable. Cela dit, c'était encore plus plat, prévisible et incohérent que ce que j'avais prévu. Comme quoi, Cannes est avant tout un festival de décoltés et non pas de cinéma. Il est vrai que la vue plongeante sur le décolté de Penelope Cruz quand elle fait la vaisselle vaut à elle seule le prix de billet, sans cela j'aurais vraiment regretté mon investissement. Il est loin le Almodovar de la Movida des années 80!! Loin aussi celui de La mala Educación, pourtant récent mais tellement mieux écrit et halletant. J'avais pourtant hâte qu'Almodovar revienne aux personnages féminins si haut en couleurs dont il a le secret, mais pas de cette manière. Au final un 4, grâce aux rondeurs de Penelope...

Publié le 20 février 2006
je suis d'accord avec le commentaire précédent sur 2 points : ça ne vaut pas meilleurs crus de Dogme comme Festen et c'est bien meilleur que la soupe dont nous sommes perpétuellement abreuvés. Cela dit, les thèmes abordés me semblent une peu éculés : difficile de vivre libre; on a besoin d'un maître pour vivre (Bonjour la référence à Nietzche); on a besoin de pouvoir s'appitoyer sur son sort, ce qui nous permet d'en vouloir au monde entier (morale du ressentiment); le pouvoir rend ivre et gnagnagna. En plus, la miss Howard n'assure pas aussi bien que Nicole Kidman, sur qui reposait l'opus précédent. Mais on ne peut pas lui en vouloir, d'autant qu'elle paie de sa personne...Enfin, toujour mieux que la nullité ambiante.

Publié le 15 février 2006
Une daube sans nom...mais que ne ferait-on pas pour quelques centaines de miliers d'euros? Quel dommage d'avoir gâché un bon souvenir. Comme quoi tout ne se bonifie pas avec l'âge. Réponse à 'le pas nul': ceux qui n'ont pas trouvé ce film nul sont archi-nuls et manquent cruellement de références.
  • 1

Suivez Cinebel