invisible
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- Membre depuis le 20/07/2007
- Nombre de critiques : 3
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Publié le 28 juillet 2007
Bof bof... J'y suis allée poussée par mon jeune fils de 9 ans.. Il est vrai que je n'ai pas lu le livre, mais pour moi, l'histoire manque de consistance. Sans les effets spéciaux, il ne ressemblerait à rien. Et Daniel Ratcliffe (Harry Potter) est devenu bien trop grand pour ce rôle. Autant il était mignon dans le premier film, autant il apparait peu doué devenant adulte. Aucune émotion ne traverse son visage aussi tristounet que celui de Cécilia Sarkozy..
Publié le 28 juillet 2007
Le film le plus excellentissime que j'ai vu depuis des années. Vaut mieux que tous les grands prix de Cannes. Ou comment la parano s'empare des citoyens qui ne sortent jamais indemnes d'un tel système, même lorsque la démocratie est à leur portée. Tous ceux qui échappent à la dictature en gardent des traces qui empoisonneront leurs relations personnelles. Certains ne s'en remettront jamais et deviendront à leur tour des bourreaux avec leurs proches.. J'en parle en conaissance de cause.
Seul bémol à ce film, la fin larmoyante, mais elle a dû être écrite pour plaire à ceux qui n'ont rien compris au film, ces adeptes inconditionnels et lobotomisés des séries US. 15/10 sinon 20/10 si on pouvait en gommer la fin..
Publié le 20 juillet 2007
Comme certains l'ont déjà soulignés, la BD est meilleure que le film. La façon qu'a Marjane Satrapi de rendre une situation par le dessin est unique. Personellement, j'ai préféré la première partie, celle où elle était enfant à la seconde partie, celle où elle a ses premiers émois amoureux. A ce sujet, j'apporte mon grain de sel. Ayant moi-même un conjoint d'origine iranienne, j'y retrouve ce type de personnalité "paranoïaque" qu'incarne également Marjane Satrapi, notamment dans ses relataions de couple, à savoir une propension à systématiquement jouer le rôle de victime ce qui dénote une impossibilité de se remettre en question et à assumer ses responsabilités. Sans doute une spécificité iranienne due sans doute à ce régime de suspicion.. Mais nous nous égarons dans les méandres de l'âme humaine alors que nous sommes là pour parler du film..
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