golgoths

fred
  • Membre depuis le 10/08/2006
  • Nombre de critiques : 9
Publié le 4 février 2004
Magnifiquement bien fait, inattendu et déroutant quant au dénouement, remarquable quant à l'interprétation. On ne peut évidemment s'empêcher de penser à Vladimir Garine qui s'est noyé quelque jours après la fin du tournage dans le lac sur le bord duquel le film avait été tourné. Le film ne s'arrête pas avec le générique, il continue dans la pensée bien après, avec tout ce qu'il a de perturbant, de triste, d'humain. C'est ce qui fait sa force. Magistral.

Publié le 4 février 2004
D'accord, les Woody Allen, c'est toujours un peu la même chose : le bon vieux générique de début en noir et blanc avec de la zique de Cole Porter, les discusses autour d'un bon steack dans un resto branché, les séances chez le psy, les mêmes personnage avec les mêmes problèmes, etc. D'accord aussi, le scénario a déjà été meilleur et c'est vrai que le film est un peu longuet. Mais bon, y a rien à faire, ici encore, c'est bien fait, c'est bien joué, les répliques sont toujours mordantes, certaines scènes vraiment hilarantes et la paranoia de Woody Allen efficace. Une petite ballade à New York avec Allen, de Vito, Biggs et Ricci. Moi, je ne dis pas non...

Publié le 17 novembre 2003
ben franchement, autant Reload était d'un ennui profond, avec des scènes de combat (inter)minables et de la philosophie à 30 cents, autant celui-ci en met plein la vue. Les combats contre les machines sont fort impressionnants et on entrevoit même par moment l'ébauche d'un scénario. Faut pas se leurrer, c'est loin d'être le film de l'année mais il y a matière à passer un bon moment. J'ai dit.

Publié le 27 janvier 2003
Très bon documentaire, probablement un des plus efficace et distrayant qui m'ait été donné de voir, étant donné que certaines personnes que Michael Moore interviewe sont aussi stupides qu'il est drôle. Deux petites réserves cependant, Moore utilise pour illustrer ses propos des mêmes méthodes de manipulation médiatique qu'il entend dénoncer. De plus, il déduit trop facilement des situations générales de cas particuliers (ainsi, ses mini-enquêtes au Canada).

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