cptluckyjackfaa

cpt_lucky_jack
  • Membre depuis le 09/05/2007
  • Nombre de critiques : 3
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Publié le 27 mai 2007
Yoho yoho le voici donc le dernier mammoute de la trilogie aventuro-rigolote de chez disney. La question qui brulent toutes les lèvre est comme d'habitude : "est-il bien ?" "mérite-t-il seulement le déplacement ?" La réponse est simple si vous avez aimer les deux premiers, courez au cinéma le plus proche car pas moins de deux heures trentes d'aventure palpitantes vous y attendent. Si vous n'avez aimer que le premier pensant que le second tirais un peu sur la corde... allez y aussi car vous serez rattraper dans celui-ci par toutes les intrigues à tiroires qui dans le précédent semblaient vaines mais qui s'entrecroisant à un incroyable tempo jusqu'au cataclysmique final gagne enfin le sens que l'on aurait souhaité. pour les autres qui depuis le début sont irrités par les retournement téléphonés, les raccourcis de scénario et autres facilités... passés votre chemin. Nous sommes ici, encore plus que dans les deux premiers dans le domaine du rêve d'enfant, de l'absurde et voir même dans quelques unes des plus belles séquences du film dans le domaine de la poésie. Les comédiens semblent également savoir un peu plus ou donné de la tête, motion spécial évidement pour Johnny depp qui nous ressert un Cpt. Jack Sparrow aussi savoureux que dans le premier. La photo, les effets spéciaux et la musiques ne dérrogent pas au très au standart de qualité au quel nous a habituer la série. Bref, le film est une excellente surprise au demeurant (bien plus que le très mauvais spiderman 3 nha je l'ai dit) pour tout ceux qui on su garder une âme d'enfant. Cpt Lucky Jack Ps: mon pseudo n'a rien avoir avec ce film-ci (voir master and commander) je ne suis donc pas la pour de la propagande aveugle merci de me croire... de toutes façons dans le cas contraire c'est la planche bande de rascasses !!!!

Publié le 15 mai 2007
pourquoi The host n'est pas un vulgaire film Z ? Tout d'abord parce que the host ose une libertée de ton que peu de films fantasiques se sont permis depuis longtemps. En effet, le cinéaste coréen se permet de marier le drame, le burlesque, le fantastique et la fresque familiale. On assiste l'air un peu perdu à cette rencontre incongrue entre le blob et little miss sunshine dont le rythme et les rebondissements ne suivent qu'un seul dictat celui de la narration. Celle-ci, tout au long du film, met à mal les formules d'un genre trop codifiés par des américains qui par ailleurs sont traités dans le film comme la source d'un mal qui nous ronge tous par leur peu de conscience écologique incarné dans le métrage par l'horrible scientifique du prologue. The host en plus d'être un film de monstre passionnant de par la fraicheur de son scénario et ses effets spéciaux de premier ordre se permet le luxe de dressé un portrait social peu reluisant de la corée moderne mais plus généralement de la souffrance des outsiders de tous bords incarnés par les personnages excentriques et éclectique de cette famille lunaire à laquelle on ne peut que s'attacher des les premières minutes. The Host est donc un film original, généreux, pas exempt de défauts mais qui mérite sans aucune équivoque son grand prix au festival international du film fantastique de bruxelles.

Publié le 9 mai 2007
Blades of glory est une de ces comédies au ridicule assumé ou l'humour flirte gentillement avec le raz des paquerettes sans pour autant basculer dans le scatologique vulgaire. Le mérite en reviens surtout aux interprètes qui embrasse le ridicule de leurs personnages pour mieux nous les faire aimer. Will Ferrell est certainement le patineur artistique le plus attypique jamais connu. Le geant mal dégrossi endosse avec un naturel inquiétant son personnage de crétin obsédé sexuel tandis que Jon Heder épouse, pour le plaisir de tous, la péruque blonde et les tenues les plus feminine possible. Le duo fonctionne donc à merveille dans sa complémentarité mais aussi car il force le rire par le décalage, l'absurde et si possible sans tomber dans le gag téléphoné. Alors certe, les méchants ne jouissent pas de la même finesse, leurs rôles se limitant la majeur partie du temps à comploter dans un décor kitch à souhait. Certe on rie beaucoup moins dans la deuxième moitié du film lorsque l'intrigue déjà vue se développe. Mais qu'importe, les costumes plus embarrassant les uns que les autres flamboient de milles feux. La bonne humeur communicative de l'ensemble sauve le film de ses défauts mineurs. Donc si vous ètes très fatigués, que vous avez une méningite ou que vous supporter sans sourciller le patinage à la télé depuis 15 ans... Ce film est fait pour vous.
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