cdc

- Membre depuis le 21/05/2015
- Nombre de critiques : 124
Utilisateur qui me suit de l'utilisateur cdc
- Page précédente
- Page suivante
- 1
- 2
- 3
- 4
- 5
- 6
- ...
- 24
Publié le 2 mai 2022
The Man Who Never Was, un film de 1956 qui m'avait impressionné à l'époque. Introuvable maintenant, probablement pas très bon, voire mauvais à en juger par son réalisateur, qui aligne navet sur navet. Bref. Celui-ci retrouve l'histoire de ce mort-vivant, cadavre envoyé en Espagne pour tromper les Allemands de 1943 et leur faire croire que le prochain débarquement aura lieu en Grèce et non en Sicile. Sujet passionnant. Hélas ! Malgré une distribution impeccable, il s'agit d'un long pensum sans aucune intelligence, avec une stupide romance où Colin Firth roule des yeux de merlan frit vers une jeune femme qu'il n'aura jamais et une histoire qui se tire en longueur. Pourtant, ça valait mieux. On peut oublier, même pour un samedi soir - voyez plutôt The Duke !


Publié le 2 mai 2022
Superbe petit film jouissif comme seuls les Anglais peuvent les faire, avec des acteurs plus ou moins inconnus (en tous cas par moi...) mais prodigieux (une habitude dans ce genre de films). Drôle, un peu - mais pas trop - cynique, détaché, rappelant les grands classiques des Ealing Studios, comme le Lavender Hill Mob, Kind Hearts and Coronets, Passport to Pimlico, Ladykillers etc... Tous de petits chefs d'oeuvres délicieux à revoir. Heureusement, il semble avoir beaucoup de succès en cet après-Covid détestable où les ex-spectateurs se claquemurent chez eux pour regarder Netflix sur leur petit écran... Allez au cinéma, c'est bien mieux !
Publié le 26 mars 2022
Curieux film où on retrouve de manière fugace la patte de Murakami. Ce n'est pas tant qu'il est long, mais verbeux, une paraphrase longanime de l'Oncle Vania, insistant lourdement sur une mise en scène de la pièce de Tchékhov - mise en scène très conventionnelle à la différence que les acteurs parlent chacun dans leur langue, plus un muet, avec des surtitres en pagaille. Quelques dialogues assez creux et ampoulés, une philosophie à deux balles, je ne me suis pas vraiment ennuyé mais je confirme une fois de plus que l'unanimité laudatrice des critiques est toujours très suspect.
Publié le 1 février 2022
Empilement de clichés et de lieux communs où l'on voit venir la fin depuis la quinzième minute* : tout est préprogrammé et (spoiler), si l'on ose dire) les amoureux tout neufs, au lieu de se rouler sur le sable ou l'herbe, le font sur la neige.
* quinzième minute, je n'ai pas chronométré ; c'est le moment où le film commence vraiment et la femme monte dans le train.
Film inutile.
- Page précédente
- Page suivante
- 1
- 2
- 3
- 4
- 5
- 6
- ...
- 24