Galoul
Masse Philippe
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Film préféré de l'utilisateur Masse Philippe
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Publié le 23 juin 2015
Les effets spéciaux sont très réussis, les grosses bêbêtes ont le regard cruel et les pattes griffues mais le film est ciblé ados et très américain dans sa conception : placements de produits, couple au bord du divorce retrouvant le sens de la famille, rebelote avec un frère aîné retrouvant son rôle de protecteur, héros ex marine et on a même droit au baiser du héros à son amoureuse juste après une scène d'action trépidante. Donc plutôt un film catastrophe mais pas catastrophique.
Publié le 17 juin 2015
Un road movie foutraque, rock'n'roll, déjanté, tendre et plein d'humour. Le duo Lanners - Willaert fonctionne à merveille. Les thèmes de l'amitié,de la mort et des groupes d'amis musiciens sont abordés tout naturellement et sans gravité.Bon, il y a quelques baisses de régime et des escales pas toutes indispensables mais le film dégage une grand sympathie.C'est un peu comme du Kervern Delépine à la belge.
Publié le 17 mai 2015
En ce qui concerne le scénario, heu, oublions. Mais au niveau visuel ( et en 3D qui plus est ), c'est jubilatoire. L'action est déchaînée, c'est une orgie de tôle, de sang, d'eau, de vrombissements, de fracas divers. Le film tient vraiment bien la route ( façon Dakar ). On peut simplement dresser au réalisateur un procès pour excès de vitesse car on entre illico presto dans l'action et il oublie parfois de laisser un peu refroidir le moteur.
Publié le 1 mars 2015
Un cousin de James Bond avec un humour parfois décalé et surprenant. Des scènes de combat virevoltantes et un volet Tarantino avec une touche british plaisant.
Publié le 1 mars 2015
Les fans de Burton pourront être étonnés par sa sagesse au niveau des images. Si ce n'est quelques personnages aux yeux démesurément grands, la mise en image est en effet classique. Mais on s'intéresse néanmoins à cette usurpation d'identité consentie.Le film s'interroge sur ce qu'est véritablement une oeuvre d'art. Christoph Walz prend plaisir à interpréter un escroc. Bref, ce n'est pas ce qu'on fait qui compte mais la manière dont on met en vente ce qu'a fait autrui.
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