mageste

Mage
  • Membre depuis le 13/06/2006
  • Nombre de critiques : 5
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Publié le 25 mars 2007
Fascinant, passionnant du début à la fin. Un plaisir!

Publié le 19 mars 2007
Sur le thème du "Bon Sauvage qui possède une sagesse à enseigner à un méchant citadin", un parisien à Charleroi. Un peu mièvre. Une Odette plus proche d'une Amélie Poulain dans son arrière-cour parisienne que des personnages filmés par Stock dans "Misère au Borinage". Mais au total, quelques bons moments. Surtout Weber dans sa suberbe critique destructive. Et le coup du film japonais sur Arte, très drôle. Mais le texte est très loin de la densité habituelle de Schmidt dans son théâtre.

Publié le 25 septembre 2006
Après les vingtenaires (Friends, ...), les trentenaires (desperate hw, ...), voici une peinture des préoccupations des quarantenaires /cinquantenaires(rangés). Avec leurs soucis de couple, d'argent, de déco intérieure ("I am getting sick of modernism, I'd like something minimalist") etc ... et leurs joies ("super, personne de nous n'a le cancer!"). Un régal.

Publié le 13 juin 2006
Au contraire des malheureux protagonistes du film-docu-fiction-réalité-reconstitution j'ai passé un excellent moment (est-ce décent?) avec malgré tout une appréhension liée à ce genre de film qui est en plus est un sévère réquisitoire contre le système carcéral "de guerre" américain. On suppose que l'analyse du film est plus juste que celle de l'armée américaine. Bref, on réfléchi... A dix mètres de la sortie du ciné, il y a des ptits jeunes qui vous invitent à rejoindre Amnesty Int'l. N'hésitez plus!

Publié le 31 décembre 2005
Un milliard de pour cent pour ce chef-d'oeuvre. D'abord la photographie est magnifique (dans le genre industriel quand même). Le cadre de fond de l'histoire ce sont les Werwolf, résistance nazie lors de l'occupation de l'Allemagne en '45. Le message est troublant: pour être vraiment humain, il faut faire le choix de valeurs et se battre pour elles ("Jésus vômit les tièdes"); peu importe que ces valeurs soient l'humanisme démocratique ou la brutalité nazie. Le héros (Jean-Marc Barr), n'ayant pas pris part à la guerre, le paiera de son âme et son corps.
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