magellan

Magellan
  • Membre depuis le 27/05/2006
  • Nombre de critiques : 47
Publié le 7 août 2009
J'apprécie Johnny Depp aussi bien comme acteur que comme personne, c'est la raison pour laquelle je suis allée voir ce film. Grosse déception !!! Aucune émotion ne s'en dégage. On ignore comment Dillinger, le personnage qu'il représente en est arrivé là, on ignore comment il s'est fait des amis, on ignore même qui sont ses amis, on ignore comment il programme ses attaques dee banque, on ignore même avec qui il les fait, en fait on ne voit rien dans ce film, sauf des gens qui se tirent sans cesse dessus. Il n'y a que cela... Et en fin de compte, on ignore même pourquoi il se fait tuer , je dirais même qu'il se laisse tuer... puisqu'il voit ses agresseurs et il ne bronche pas. Quant à la rencontre avec Marion Cotillard, elle relève de la future violence conjugale..

Publié le 2 juillet 2009
Un Thierry Lhermitte époustouflant qui joue à contre emploi. Sur le thème du « Cercle des poètes disparus ». Intrigue et suspense sont au rendez-vous. A voir absolument

Publié le 7 mai 2009
L’histoire de Cendrillon. Véritable histoire pour midinette en mal de prince charmant. Fade et sans suspense. D’un ennui mortel. J’ai baillé avant la fin. Benoît Poelvoorde utilisé à contre emploi absolument non convainquant et peu crédible.

Publié le 3 janvier 2009
Le film de James Gray ne colle pas du tout à son interview. J’en espérais bien mieux que la psychologie à deux sous que j’ai trouvé dans ce film. Le mauvais choix des acteurs y est également pour quelque chose. Le héros, Joaquin Phoenix, ne fait absolument pas le poids face à Gwyneth Paltrow et Vinessa Shaw, les deux super jolies filles qui craquent pour lui. Lui, bien trop rustre ! Et elles, bien trop belles et trop glamour ! Ce qui m’a le plus dérangé, c’est le manque de psychologie flagrant du réalisateur. Il vous jette à la tête un héros, qualifié de bipolaire, une midinette accro à l’ecstasy dont il s’éprend mais qui est amoureuse de son vieux patron qui rechigne à quitter sa femme et une jeune beauté intelligente de surcroît, qui s’éprend de ce gros rustre mal dégrossi qui s’est déjà ouvert les veines suite à un chagrin d’amour. Seule la petite musique mélancolique sauve la situation.

Publié le 5 septembre 2008
Ce film des frères Dardenne s'inscrit dans la lignée des précédents. Il est rondement mené et le suspense reste jusqu'au bout. De ce point de vue-là, on comprend que les Dardenne savent faire des films. Mais comme à chaque fois, il y a qch qui me gêne. Les Dardenne décrivent des milieux violents qu'ils ne connaissent pas, sauf par des faits divers ou parce qu'on leur a raconté. Comme ils sont eux-mêmes des personnalités gentilles, ils décrivent leurs personanges comme s'ils réagissaient comme eux. Tout comme dans le film "l'enfant" l'acteur Jérémy Régnier, un marginal est un garçon doux et gentil, ce qui est loin d'être le cas dans ce type de milieu, d'autant plus que dans ce film, en plus d'être marginal, il est drogué. Dans tous les films des Dardenne, la violence est absente, alors qu'ils décrivent des milieux violents. C'est cela qui est étonannt et inhabituel et peu convainquant. Une autre chose est la place que les femmes occupent dans leur cinéma. A chaque fois, ce sont elles qui sont les dominatrices, qui tirent les rennes, ce qui ,hélàs est à mille lieues d'être le cas dans ce type de milieu que décrivent les Dardenne. J'aimerais bien être leur coach pour un prochain film.. La fin du film me laisse un peu décontenancée car elle semble peu crédible, sauf si Lorna décide de sombrer dans la folie, ce qui est peu probable dans la réalité. Bref, les Dardenne nous ont raconté une belle fable. En fait, ils s'inspirent de faits divers, mais comme ils sont trop gentils, il est inconcevable pour eux que les protagonaistes deviennet méchants.

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