crissou

Crissou
  • Membre depuis le 23/08/2006
  • Nombre de critiques : 147
Publié le 17 mai 2010
Diplômé des Beaux-Arts et des Arts-déco à Paris, Barmak Akram n’est pas que cinéaste. Il est également plasticien, musicien, interprète et compositeur. Après de nombreux documentaires sur la culture afghane, Kabuli Kid est son premier long métrage de fiction. Le réalisateur a opté pour un chauffeur de taxi comme personnage central. Il met de la sorte en avant les dégâts de la guerre ainsi que la tension permanente qui règne en ville entre blindés et attentats suicides. Il accentue ce réalisme en optant pour un maximum de décors naturels choisis en repérage préalable. Malgré un scénario qui tient sur trois lignes, ce drame aux accents très comiques réussit à nous entraîner pendant plus d’une heure et demie dans le quotidien difficile des habitants de Kaboul. Barmak Akram nous fait partager brillamment le désordre permanent qui règne au sein de la ville. Il n’en oublie pas de nous accompagner jusqu’à la quiétude d’une maison familiale où la condition de la femme n’est malheureusement pas de tout repos. Kabuli Kid évoque des sujets sensibles et durs adoucis par un ton humoristique, très drôle même par moment. Sans enfoncer le bouton des gros clichés de la misère liée à la guerre, le réalisateur afghan réussit à nous faire prendre conscience d’un certain quotidien dans son pays. Cependant, son film manque parfois de rythme et de consistance à cause d’un scénario un peu trop léger pour tenir la distance. Á Retenir : une station radio très cheap, cinq mamans pour un seul bébé, un orphelinat sans le sou, un nourrisson difficile à nourrir et que de femmes à la maison.

Publié le 6 mai 2010
Né en 1949, Gianni Di Gregorio a écrit le scénario de plusieurs films dont Gomorra tiré du livre de Roberto Saviano. En 2008, il réalise son premier film Pranzo Di Ferragosto, primé à la 65ème Mostra de Venise du Prix Luigi De Laurentiis (meilleur premier film). Le réalisateur italien s’est inspiré de son propre vécu pour mettre en chantier son premier film. Il a vécu pendant de longues années avec sa maman veuve alors qu’il était fils unique et séparé de sa femme. En 2000, le syndic de son immeuble lui a réellement proposé d’effacer une dette s’il gardait sa mère pendant les vacances, ce qu’il refusa à l’époque. Le casting féminin est composé de femmes qui n’avaient jamais joué auparavant. Tel un cadeau inattendu tombé du ciel, Pranzo Di Ferragosto propose une comédie réaliste mais légère. Emmenée par une brochette de mamys non professionnelles, cette petite perle venue du Sud évoque la vieillesse et les relations mère-fils dans une ambiance permanente de bonté touchante. Gianni Di Gregorio, jouant lui-même le personnage principal de son film, y apporte une prestance rassurante et apaisante. Sans avoir l’air d’y toucher, ce premier film du scénariste italien marque la mémoire avec une modestie vibrante de simplicité. Cette petite histoire anodine de quartier ne joue pas la carte de l’effet immédiat mais vous revient en mémoire régulièrement les jours suivants. En plus de vous rester en tête, Pranzo Di Ferragosto vous donne votre petite dose quotidienne de sagesse et de bonne humeur. Á Retenir : un vin blanc qui descend tout seul, des petites histoires pour faire dormir maman, une télévision très convoitée, une mamy préfère la gourmandise à la santé et petit cocktail explosif camomille - somnifère.

Publié le 6 mai 2010
Né en 1949, Gianni Di Gregorio a écrit le scénario de plusieurs films dont Gomorra tiré du livre de Roberto Saviano. En 2008, il réalise son premier film Pranzo Di Ferragosto, primé à la 65ème Mostra de Venise du Prix Luigi De Laurentiis (meilleur premier film). Le réalisateur italien s’est inspiré de son propre vécu pour mettre en chantier son premier film. Il a vécu pendant de longues années avec sa maman veuve alors qu’il était fils unique et séparé de sa femme. En 2000, le syndic de son immeuble lui a réellement proposé d’effacer une dette s’il gardait sa mère pendant les vacances, ce qu’il refusa à l’époque. Le casting féminin est composé de femmes qui n’avaient jamais joué auparavant. Tel un cadeau inattendu tombé du ciel, Pranzo Di Ferragosto propose une comédie réaliste mais légère. Emmenée par une brochette de mamys non professionnelles, cette petite perle venue du Sud évoque la vieillesse et les relations mère-fils dans une ambiance permanente de bonté touchante. Gianni Di Gregorio, jouant lui-même le personnage principal de son film, y apporte une prestance rassurante et apaisante. Sans avoir l’air d’y toucher, ce premier film du scénariste italien marque la mémoire avec une modestie vibrante de simplicité. Cette petite histoire anodine de quartier ne joue pas la carte de l’effet immédiat mais vous revient en mémoire régulièrement les jours suivants. En plus de vous rester en tête, Pranzo Di Ferragosto vous donne votre petite dose quotidienne de sagesse et de bonne humeur. Á Retenir : un vin blanc qui descend tout seul, des petites histoires pour faire dormir maman, une télévision très convoitée, une mamy préfère la gourmandise à la santé et petit cocktail explosif camomille - somnifère.

Publié le 6 mai 2010
Né en 1949, Gianni Di Gregorio a écrit le scénario de plusieurs films dont Gomorra tiré du livre de Roberto Saviano. En 2008, il réalise son premier film Pranzo Di Ferragosto, primé à la 65ème Mostra de Venise du Prix Luigi De Laurentiis (meilleur premier film). Le réalisateur italien s’est inspiré de son propre vécu pour mettre en chantier son premier film. Il a vécu pendant de longues années avec sa maman veuve alors qu’il était fils unique et séparé de sa femme. En 2000, le syndic de son immeuble lui a réellement proposé d’effacer une dette s’il gardait sa mère pendant les vacances, ce qu’il refusa à l’époque. Le casting féminin est composé de femmes qui n’avaient jamais joué auparavant. Tel un cadeau inattendu tombé du ciel, Pranzo Di Ferragosto propose une comédie réaliste mais légère. Emmenée par une brochette de mamys non professionnelles, cette petite perle venue du Sud évoque la vieillesse et les relations mère-fils dans une ambiance permanente de bonté touchante. Gianni Di Gregorio, jouant lui-même le personnage principal de son film, y apporte une prestance rassurante et apaisante. Sans avoir l’air d’y toucher, ce premier film du scénariste italien marque la mémoire avec une modestie vibrante de simplicité. Cette petite histoire anodine de quartier ne joue pas la carte de l’effet immédiat mais vous revient en mémoire régulièrement les jours suivants. En plus de vous rester en tête, Pranzo Di Ferragosto vous donne votre petite dose quotidienne de sagesse et de bonne humeur. Á Retenir : un vin blanc qui descend tout seul, des petites histoires pour faire dormir maman, une télévision très convoitée, une mamy préfère la gourmandise à la santé et petit cocktail explosif camomille - somnifère.

Publié le 6 mai 2010
Né en 1949, Gianni Di Gregorio a écrit le scénario de plusieurs films dont Gomorra tiré du livre de Roberto Saviano. En 2008, il réalise son premier film Pranzo Di Ferragosto, primé à la 65ème Mostra de Venise du Prix Luigi De Laurentiis (meilleur premier film). Le réalisateur italien s’est inspiré de son propre vécu pour mettre en chantier son premier film. Il a vécu pendant de longues années avec sa maman veuve alors qu’il était fils unique et séparé de sa femme. En 2000, le syndic de son immeuble lui a réellement proposé d’effacer une dette s’il gardait sa mère pendant les vacances, ce qu’il refusa à l’époque. Le casting féminin est composé de femmes qui n’avaient jamais joué auparavant. Tel un cadeau inattendu tombé du ciel, Pranzo Di Ferragosto propose une comédie réaliste mais légère. Emmenée par une brochette de mamys non professionnelles, cette petite perle venue du Sud évoque la vieillesse et les relations mère-fils dans une ambiance permanente de bonté touchante. Gianni Di Gregorio, jouant lui-même le personnage principal de son film, y apporte une prestance rassurante et apaisante. Sans avoir l’air d’y toucher, ce premier film du scénariste italien marque la mémoire avec une modestie vibrante de simplicité. Cette petite histoire anodine de quartier ne joue pas la carte de l’effet immédiat mais vous revient en mémoire régulièrement les jours suivants. En plus de vous rester en tête, Pranzo Di Ferragosto vous donne votre petite dose quotidienne de sagesse et de bonne humeur. Á Retenir : un vin blanc qui descend tout seul, des petites histoires pour faire dormir maman, une télévision très convoitée, une mamy préfère la gourmandise à la santé et petit cocktail explosif camomille - somnifère.

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