Bye Bye Love

Titre original: Down With Love
Origine:
  • États-Unis
Genres:
  • Romance
  • Comédie
Public: Tout public
Année de production: 2003
Date de sortie: 08/10/2003
Durée: 1h41
Synopsis : Au début des années 60', Barbara Novak vient de partir à la conquête de New York avec son dernier livre 'Down with love', véritable manifeste du parti féministe! Son message: non à l'amour, oui à la carrière, au pouvoir et au sexe. Alors que son bouquin grimpe en tête des ventes, elle devient la cible de Catcher, journaliste macho et séducteur qui décide de la faire craquer pour démonter ses théories.
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    7.0/10 13 votes - 13 critiques

Avis des internautesdu film Bye Bye Love

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Publié le 1 janvier 2007
L' Amérique des années 50. Un livre va subitement jeté un pavé gros comme un rocher dans la mare des règles et conventions établies des relations entre hommes et femmes, aussi bien à la maison qu' au travail. Ainsi, les règles et les conventions qui régissaient jusque-là les relations entre les deux sexes dans le monde dit civilisé, et que la grande majorité des membres du sexe dit "fort" croyaient immuables et innébranlables, vont brutalement s' effondrer comme autant de châteaux de cartes. Un livre dont le contenu constitut un véritable et gigantesque pied-de-nez à la figure des valeurs et des "bonnes" moeurs et coup de pied à l' arrière-train de la gente masculine jugée beaucoup trop masochiste par celle qui en est l' auteur ? Il annonce clairement la couleur: "L' amour, non merci !". Son auteur ? Une jeune femme jusque là totalement inconnu du milieu de l' édition et du grand public, mais que le citoyen (et surtout la citoyenne) américaine va rapidement apprendre à connaître. Son nom ? Barbara Novak. Elle proclame haut et fort, dans tous les magazines de la presse féminine américaine, que l' amour que la femme devait jusqu' ici obligatoirement vouée à son époux et tel qu' elle devait le ressentir et le manifester à un homme n' est un réalité qu' une tromperie et une illusion. Une manière pour la gente masculine de manifester, de manière voilée mais très claire à ses yeux, sa soi-disant et absurde supériorité envers elles, les femmes. Révoltée contre cet état de fait qu' elle juge humiliant au dernier degré, elle décide alors que ceci doit changée, et pas plus tard que maintenant. Et le pire (pour les hommes, s' entend) c' est qu' elle y parvient... Et bien évidemment, il y a plus d' un mâle qui, se retrouvant, d' une façon ou d' une autre, blessé dans son amour-propre, saute au plafond. Et s' il y a en bien un qui grincent les dents et écume de rage, c' est Catcher Block, journaliste vedette et roi des play-boy. Ce drageur et séducteur invétéré voit alors son pouvoir de séduction sur la gente féminine menacé de se voir réduir à néant. Il décide alors de contre-attaquer, bien décider à tout faire et à tout tenter pour mettre en échec cette "oiseau de malheur déguisée en poupée Barbie" et à trouver une faille qui mettraient ses théories à terre... Dans cette "bataille des sexes", Renée Zellwegger et Ewan Mc Gregor incarnent tous deux l' archétype du rôle de la jeune américaine dynamique pour l' une et du beau mâle coureur de juppons pour l' autre de manière exhubérante, telle qu' on les concevait dans le cinéma populaire des années 50. Les traits des personnages sont forcés et l' interprétation peut apparaître (en apparence) trop sétérotypée et l' histoire pleine de tous les poncifs du genre, mais la caricature est, ici, en tous points volontaire et pleinement assumée. Si cette "friandise" apparaît un peu trop sucrée de prime abord, c' est pour mieux trompée son monde. Cette accumulation de tous les clichés du genre, et cette outrance forcée dans chaque scène, n' est là que pour mieux battre ceux-ci en brèche. Et montrée que beaucoup de choses, dans le quotidien de l' Amérique de ces années-là, telles que les représentaient les publicités et les sourires des figures des magazines de mode d' alors, (et qu' il représente encore aujurd' hui, en grande partie) n' est pas plus vrai qu' un décor de cinéma. De sirupeux, cette belle petite comédie, pétillante à souhait, se révèlent, à la fin, à la fois caustique et satirique, et porte un regard plein d' une douce ironie sur cette Amérique de "l' âge d' or". Façon à la fois humouristique et habile de montrer que bien des choses sont illusions... Et que l' amour, le vrai, doit souvent se chercher au-delà des chemins balisées, des conventions, des préjugés et des mirages... Une comédie façon américaine, mais à la bonne façon. Et qui fait mouche !

Publié le 8 mai 2005
c de la tuerie!ce film est excellent,kitsh à souhait ei sans tomber dans l'ecces,les acteurs sont fantastiques ainsi que la BO.bravo!

Publié le 27 novembre 2004
je rouve que ce film est génial!!!!!!!!

Publié le 22 octobre 2003
Quel superbe hommage! Voilà un film qui nous fait retrouver les joies des grands classiques 'noir et blanc' (sur des chansons éternelles de Frank Sinatra, Doris Day, etc.), mais tout en couleur! Avec des pastels, des architectures d'antan, le mobilier très classy de l'époque et des dialogues savoureux et pimpants, on reprend goût aux comédies des années 50-60. C'est une belle histoire, naïve certes, mais pleine de surprises, cela se déguste comme une boîte de chocolats! Certains bouderont ces friandises, mais pour ceux qui aiment se faire plaisir, ce petit film vous réchauffera les papilles et le coeur... à vous de voir ;-)

Publié le 20 octobre 2003
Bof, bof, quelques bons moments pour une comédie somme toute très prévisible. Mais les années 60 ont la bonne idée de démarquer cette comédie de dizaines d'autres. Renée Zelwegger en fait des tonnes. Par contre je trouve Ewan Mc Gregor plutôt crédible dans son rôle.

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