Avril brisé
Titre original: Abril Despedaçado
Réalisateur:
Origine:
- Brésil
Genre:
- Comédie dramatique
Année de production: 2001
Date de sortie:
30/07/2003
Durée: 1h45

Synopsis :
Avril 1910. Dans le Nord-Est désertique du Brésil, une chemise tachée de sang se balance au vent. Tonho, fils cadet des Breves, est contraint par son père de venger la mort de son aîné, victime d'une lutte ancestrale entre familles pour des questions immobilières... S'il remplit sa mission, Tonho sait que sa vie sera scindée en deux : les 20 ans qu'il a déjà vécus, et le peu qu'il lui restera à vivre. Il est pourchassé par un membre de la famille rivale, comme le dicte le code de vengeance de la région. Angoissé par la perspective de la mort, Tonho commence à douter de la logique de la violence et du poids des traditions. C'est alors que deux artistes d'un petit cirque ambulant croisent son chemin...
Avis des internautes du film Avril brisé
Publié le 26 octobre 2003
Excellent à plusieurs niveaus : les acteurs, les images, la musique, l'histoire.
Publié le 14 août 2003
magnifique filme - mais pas excellent. Il n'y a pas assez de mouvements et pas assez d'aventures. Les personnages sont tres renfermés...
Publié le 7 août 2003
SuperZébulon, l'implacable défenseur de la décence et du bon goût, remet les pendules à l'heure. Il fait bien, le bougre... Dommage qu'il doive pour cela recourir à l'invective. Enfin, nous, cinéphiles ordinaires (gros, alcoolos, ignorants, brutes), qui avons l'incroyable audace d'aimer tel film et pas tel autre, et, circonstance aggravante, de le dire (veuillez nous pardonner, O Grand Inquisiteur), nous, misérables vers de terre, disais-je, n'avons plus qu'à nous incliner. Non sans nous inquiéter. Car, si son agressivité, ses rapports difficiles avec la différence et son abyssal manque d'humour n'étaient pas dus aux fortes chaleurs, le cas pourrait être plus sérieux que prévu. Mais chassons ces idées noires, car finalement, tout ça n'est peut-être qu'un dégât collatéral du film: encore partagé entre la tragédie grecque (paix à Sophocle et Euripide) et le conte de fées (nous n'avons pas dû lire les mêmes), Super-Z attend, le sèche-cheveux à la main (petite concession à la modernité), que le sang ait jauni pour lancer une nouvelle attaque meurtrière ! Brrrrrr...
Publié le 7 août 2003
A la demande de mon cher ami Zebulon, je revois ma cote, que j'avais un peu gonflée pour ne décourager personne d'aller voir ce 'chef-d'oeuvre'... incontestable. Ne me remerciez pas, c'est de bon coeur ! Sobrement vôtre...
sabine scha