Intervention divine

Titre original: Yadon Ilaheyya
Origine:
  • Territoires palestiniens
Genre:
  • Comédie dramatique
Public: Tout public
Année de production: 2002
Date de sortie: 23/10/2002
Durée: 1h33
Synopsis : Au coeur du film palpite une histoire d'amour. Un Palestinien vit à Jérusalem, une Palestinienne vit à Ramallah. Au regard de la réalité politique, la liberté de mouvement de la femme s'arrête au check point militaire israélien qui sépare les deux villes. Devant l'incapacité d'échapper à la banale normalité de l'occupation, l'intensité de leur désir aura de graves et profondes répercussions. La colère des amants face à la situation les incite inéluctablement à inventer un monde imaginaire, naissance de tous les possibles.
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    6.0/10 17 votes - 18 critiques

Avis des internautesdu film Intervention divine

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Publié le 21 février 2003
Très lent. Mais alors là TRES lent... Le film aurait pu être terminé en 15 minutes. Mais non, on nous fait languir pour pas grand chose. C'est la première fois que je mets un avis sur ce site et c'est principalement pour contribuer à faire baisser cette moyenne actuelle de 50% qui est encore bien trop flateuse. N'y allez pas, vous économiserez votre temps... et le prix d'un ticket de ciné pour aller voir un VRAI bon film.

Publié le 11 janvier 2003
Un film plein de sens et de sensibilité. Inhabituel, un peu déconcertant. Ce n'est pas du genre fast food du cinéma mais c'est là que réside son intérêt.

Publié le 6 janvier 2003
'L'âge des pierres !'... D'après certains paléontologues émérites, l'origine du conflit 'Israélo-Palestinien', charpente médiatique des 'immaculés' de l'information, remonterait à la nuit des 'tanks !'. En effet, on aurait retrouvé des vestiges picturaux corroborant la thèse selon laquelle une espèce appelée 'Arafatien', caractérisée par une peau de bête en guise de couvre-chef et une prédisposition au 'lancé', se frottait régulièrement aux 'Sharoniens' souffre-douleurs de l'histoire convertis en tortionnaires : une époque à ne pas mettre un caillou dehors, paraît-il ! Il n'y a pas que la castagne qui perdure, la connerie aussi apparemment ! L'homme dans toute sa splendeur, prédateur éternel préférant défrayer la chronique, que de déflorer une belle bique : 'Faites l'amour les gars !'. Il ne faut pas s'étonner que cette querelle se perpétue de génération en génération, le message haineux qui est distillé en permanence (valable dans les deux sens !) par les têtes 'pensantes' finit à terme par modeler les contours perméables de la relève. La solution serait-elle d'ordre culinaire ? 'Richard Wagner' voyait dans le végétarisme une alimentation qui pourrait rendre l'humanité moins violente et l'aider à réintégrer le paradis perdu. 'Les animaux carnivores sont généralement plus cruels et plus violents que les herbivores (...)', dixit Jean-Jacques Rousseau. Mais delà à faire pousser des salades en terre promise, il y a un pas que je préserverai d'avancer. A mon avis, on a pas fini de se savonner au rythme de cette violence aseptisée. Ah, j'oubliais... Bonne Année ! A voir...

Publié le 14 décembre 2002
Manifestement, les commentaires ne sont pas très élogieux et ce qui revient souvent, c'est l'ennui. Eh les gars, si vous voulez de l'action à la con faut aller voir James Bond... C'est vrai que les scènes sont inégales (personnellement, matrix façon ninja c'est pas mon truc) mais ce silence exprime tellement bien l'absurdité de la situation. Il n'y a rien à dire, c'est tout et le regard du personnage central reflète extrêmement bien l'impuissance, la passivité face à ce qui n'a plus de nom. 'Ce qu'on ne peut exprimer, il faut le taire'... N'empêche qu'avec un minimum de sensibilité, la résonnance est bien réelle.

Publié le 10 décembre 2002
Je suis sorti de ce film avec plus de questions qu'il n'en faudrait probablement. Début ennuyeux, j'ai par la suite essayé de décoder un certain nombre de symboles liés à l''intervention divine'. J'ai donc ressenti certaines choses avec mes 'lunettes'. Mais suis également à la recherche de gens qui comme moi, y ont vu une suite de sens dérivés, sur fond d'une réalité qui somme toute est fort peu envieuse.

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