Hulk

Titre original: The Hulk
Origine:
  • États-Unis
Genres:
  • Aventure
  • Action
Public: Tout public
Année de production: 2003
Date de sortie: 02/07/2003
Durée: 2h18
Synopsis : Suite à une expérience ratée, Bruce Banner se voit condamné à combattre ses démons intérieurs, et lorsqu'il est confronté à un stress intense, il se transforme en énorme monstre vert. Son ex, le docteur Betty Ross, la géniale scientifique, qui bien involontairement aide à libérer les pouvoirs destructeurs de 'Hulk', pourra peut-être l'aider...
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    6.4/10 48 votes - 48 critiques

Avis des internautesdu film Hulk

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Publié le 29 juillet 2003
Je n'ai jamais lu le comics, et je sais que je regardais la série mais je ne m'en rappelle pas. Le film n'était pas drole ni crédible (forcément...), ni quoi que ce soit... bref je n'ai rien trouvé d'intéressant là-dedans, sauf les différentes prises de vues présentées comme des cases de BD. C'est fort long pour le peu d'intérêt que nous fait porter l'histoire. Et le gros bonhomme vert n'est pas super bien fait non plus...

Publié le 27 juillet 2003
Pas trop mal au niveau des effets spéciaux (Hulk et chiens en images de synthèse). Scénario... moyen. Mais bon, c'est avant tout un retour dans notre enfance (BD). Certains petits enfants (4-5 ans) autour de moi avaient quand même l'air terrifiés dans les bras de leur parents ! Je les comprends, dommage pour l'absence de limite d'àge (à partir de 8 ans ?)

Publié le 27 juillet 2003
Visiblement l'adaptation des comics au grand écran est légion, comme ce l'est dit dans le film : « La mode est au vert ». La difficulté majeure de mette en bobine un comics est visiblement de lui donner une « âme », une sensibilité, une « humanité », absurde n'est-il pas ? Et pourtant, la crédibilité d'un super héros passe par cette humanité dont on les affuble parfois avec une certaine indélicatesse. L'Amérique n'a de cesse de créer des super héros qu'elle ne peut empêcher de rendre fragile par des comportements humains, le géant aux pieds d'argile ! L'analogie va tellement loin qu'on ne peut rater la séquence durant laquelle Hulk tiendra un objet de forme ronde sur ses épaules, tout comme atlas supportant le poids du monde, mais encore faut-il bien construire cela avec intelligence. Sans parler de l'éternel archétype de la femme et sa sensibilité calmant le guerrier fou, d'où cette séquence mettant en présence Hulk et Jennifer Connely. Elle peut faire sourire mais c'est une belle réalité. Le film subit un engagement politique certain, car l'Amérique entre ses super héros qui la rassure et sa foncière hypocrisie sur la scène mondiale ne peut nous aveugler sur sa volonté de régner en maître sur ce monde mais aussi d'être la victime première de son arrogance. Et malgré le fait qu'Hulk a pour adversaire principal (il y a aussi son père) l'armée américaine, on ne peut réfréner la pensée que la réalité est belle et bien là, le modèle américain envahi la planète. 140 minutes de film, c'est long mais c'était nécessaire pour entrer dans la peau des personnages et malgré toute la finesse d'Ang Lee qui dans 'Tigre et dragon' nous enchanta, Hulk me désenchantera partiellement. Ce ne sera ni le jeux de Connelly ni celui d'Eric Bana et encore moins celui de Nick Nolte qui me décevra car ils furent tous merveilleux dans leur rôle. La première grosse déception c'est le jeux beaucoup trop caricatural du père de Connelly, le militaire moustachu, inflexible, rigide, froid, bref à la limite ridicule, et la seconde déception, majeure celle là, est le manque de relief du géant vert par rapport à son énorme capacité. J'aime à ce que le mythe du surhomme soit une chimie parfaite entre des capacités (sur)naturelles ET une grandeur d'âme, mais ici la grandeur d'âme ne fonctionne pas, car l'on a plutôt affaire à un enfant de 2 tonnes. Cela dit peut-être que le film reste fidèle aux comics que je n'ai pas lu. Mis à part ces deux points, le film est sur le plan photographique un véritable joyau, Hulk fabriqué par la ILM (boite à effets spéciaux de Georges Lucas) est tout simplement splendide et sa panoplie de mouvements ne trahissent pas sa nature de synthèse même ses expressions faciales seront à la hauteur. Le montage quand à lui est tout simplement époustouflant, utilisant le Split-screen (écran partagé) à outrance (dont Brian De Palma donna les lettres de noblesse) Ang Lee donne littéralement vie à l'écran, il me faut remonter au final de Carrie (1976) voire le Napoléon d'Abel Gance (écran coupé en trois parties) pour être à nouveau impressionné par cette technique filmique. Pour info le Split-screen a également été fortement utilisé dans l'excellente série «24 heures chrono» de Robert Cochran, Joel Surnow. A noter également l'éternel message archi-classique des dangers d'une science sans garde-fous, le clin d'oeil à la base d'Almogordo (projet Manhattan), La parabole de l'enfant prodigue qui se résout dans le conflit, le meilleur moyen de construire le futur qui est d'exorciser les démons du passé, ... Hulk est un véritable creuset pour les amoureux de la nature humaine, le film est beau mais ne sera pas à la hauteur d'un Batman à la Burton. La B.O. ici signée par Danny Elfman est de toute beauté, à signaler aussi la présence de la superbe voix de Natacha Atlas lors de certains passages (Hulk's freedom).

Publié le 26 juillet 2003
Hé ben je vais vous étonner, mais moi j'ai adoré le film ! Il est bien fidèle à l'esprit du comics, puisque c'est de là qu'il vient et non de la série, comme certains semblent le croire... Jennifer Connely que j'ai adorée dans Labyrinth ne m'a une fois de plus pas déçu. Nick Nolte est très bon et Eric Bana mérite aussi sa part de compliments. La fin est, il est vrai, un peu n'importe quoi, mais bon... mis à part le combat final, je trouve ça assez bien fait quand même. Je l'ai vu 2 fois déjà, j'irai surement le revoir uen troisième et j'espère un numéro 2 ! ...Après tout, ils ont bien fait Xmen 2 et Matrix 2...

Publié le 25 juillet 2003
Mes enfants ont aimé.Moi, je me suis endormi.

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