Les Diamants sont éternels

Titre original: Diamonds Are Forever
Origine:
  • Royaume-Uni
Genres:
  • Espionnage
  • Action
Public: Tout public
Année de production: 1971
Durée: 1h59
Synopsis : Du Japon au Caire, James Bond poursuit Blofeld et finit par le tuer. Mais, ce qu'il ne sait pas, c'est que son vieil ennemi est parvenu à créer des doubles parfaits et c'est l'un deux qu'il vient d'éliminer. Peu après à Londres, 'M' présente Bond à Sir Donald Munger, le président du syndicat des diamantaires, très inquiet de ne plus voir apparaître, sur le marché noir, des pierres de contrebande. Tout laisse à penser qu'une mystérieuse organisation est en train de constituer d'importants stocks. Mais pour quel usage ? De plus, en Afrique du Sud, d'où l'on extrait près de quatre-vingt pour cent de la production mondiale de diamants, les morts violentes d'un dentiste et d'un pilote d'hélicoptère tendent à prouver que la filière de contrebande, ayant accomplie sa mission, est éliminée. Source : www.jamesbond007.net
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Publié le 16 janvier 2007
Après avoir refusé de prolonger son contrat, George Lazenby quitte le monde de James Bond et devient l’unique acteur à n’avoir endossé le rôle du célébrissime agent secret qu’une seule fois. Les producteurs se retrouvent donc face à une lourde tâche : trouver un nouveau 007. Les idées et coutumes Anglaises considérées comme dépassées par les scénaristes, ces derniers ont décidé d’américaniser le personnage. John Gavin a passé des tests concluants et a signé un contrat, mais lorsque Sean Connery a accepté de revenir uniquement pour ce film, les producteurs ont lâché Gavin qui a tout de même reçu l’intégralité de son cachet. Connery de retour, les scénaristes décident finalement de revenir au James Bond cent pour cent British, classe et aux goûts sexuels et culinaires dignes des premiers films. Malheureusement, on sent que l’acteur est blasé, qu’il connaît tout du personnage qu’il a incarné des années avant et surtout qu’il n’est plus vraiment motivé à endosser le célèbre smoking Bondien, ce qui donne au final une interprétation moyennement convaincante même si le charme, la classe et la présence sont toujours de mises. Après le retour de Connery, les producteurs décidèrent de faire revenir un cinéaste qui a permis aux films de 007 d’obtenir un succès mondial avec le magnifique Goldfinger. On sent Hamilton une nouvelle fois très inspiré dans sa mise en scène ; en effet, la grande majorité des plans de Las Vegas (le film se déroule en très grande partie dans cette ville) que ce soit de jour ou de nuit, sont absolument magnifiques et rendent à la ville sa beauté grandiose et majestueuse que seul Martin Scorsese et son Casino a pu égaler jusqu’à présent. Si l’on peut clairement avouer que la réalisation est le point fort de cette septième aventure du grand James, on ne peut pas en dire autant des seconds rôles. Jill St John campe une Bond Girl cruche jusqu’au bout des ongles, parfois détestable et donc oubliable ; Charles Gray interprète le plus faible Blofeld de la saga (vive Telly Savalas !) et le personnage du milliardaire Wyllard White, pourtant ô combien important dans l’histoire, apparaît tellement trop peu qu’il en est sous-exploité. Malgré ces défauts, on peut dire que LES DIAMANTS SONT ETERNELS est un bon Bond, nettement meilleur que les deux Roger Moore qui suivent.
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