Darkness Falls ou comment une vieille légende (la dent perdue sous l'oreiller) se transforme en cauchemar et où la souris est substituée par une effroyable entité alimentée par la haine et la colère. Darkness Falls est l'archétype même du film qui traite de la peur du noir, ou plutôt de ce que le noir est susceptible de contenir. Grande surprise, le scénario nous met au parfum dès les premières images, très tôt dans le film l'on est donc conscient de la nature du danger mais et aussi de celle des 'héros', de la manière dont cela va se dérouler mais aussi de l'issue très prévisible. On se demande donc comment, en l'absence d'interrogation, ce film peut nous tenir en haleine. Et bien personnellement j'ai été agréablement surpris car tout le film joue sur cette peur infantile et enfantine du noir, et très habilement. Dans ce film, le noir prend vie, la moindre zone d'ombre est susceptible de représenter un danger, et c'est là toute la subtilité du film, vous faire entrer à nouveau en intimité avec cette peur ancestrale. Darkness Falls fonctionne très bien car la nature du danger tout comme dans Final Destination n'est pas naturelle, pas de serial killer ou de dément à l'horizon mais quelque chose d'effroyablement violent, de machiavélique ... et de non naturel. Une entité dont la force et la haine n'ont d'égale que la bonté et la fragilité qui la caractérisait de son vivant, une vieille dame qui adorait les enfants. Les références sont légions, cette entité à la fois extrêmement véloce mais aussi impitoyable et très violente bouge de la même manière que la grande faucheuse dans The Frighteners, la peur de s'endormir tout comme dans les Freddy Kruger, la séquence de la douche dans psychose. Mais aussi la création d'un microcosme tout comme dans les Stephen King (Needfullthings), on s'imagine sans efforts dans le Maine et son incalculable superficie de forets si précieuses à Stephen King. J'évoquerai aussi la fin prévisible, la lumière qui triomphe des ténèbres mais très prenante, à noter que celle-ci se déroule dans un phare, ça ne vous rappelle rien ? Casttle rock. Bon film d'horreur à la bande-son décoiffante mais qui ne figurera pas dans les classiques

Mdrrrr !!! Comment peut on mettre 10/10 à un film pareil !!! C'est une daube monumentale !!! Du réchauffé total ... scènes prévisibles à la limite du pathétique ... aucun frisson, aucun suspens, aucune atmosphère, ... Un beau film qu'Hollywood en produit par milliers ... Restez dans la lumière ... attention !!!! Lolllllllllllllllllll

Le enième film d'épouvante pathétique que j'ai eu l'occasion de voir! L'histoire est très basique et aucun retournement de situation n'est à attendre! De plus les acteurs jouent aussi mal que les 'acteurs' d'Hélène et les garçons! Un conseil: passez votre chemin!

le début est prennant, le reste n'est qu'un slasher classique plutôt moyen et d'un genre qui s'essoufle... vivement freddy vs jason !

C'est un film qui nous fait susrsauter dès le début... Mais la fin est plutôt bâclée!