Synopsis : Un petit appartement moderne, qui pourrait être celui de n'importe qui, une fenêtre qui donne sur une rue, qui pourrait être n'importe quelle rue de n'importe quelle ville, une jeune femme qui s'ennuie en attendant le retour de son mari instituteur qui travaille trop. Okaeri commence comme une chronique de la banalité, sans cliché, sans caricature, juste comme ça, comme ça se passe vraiment. Nous sommes au coeur de la société japonaise, là où ça fait le plus mal, parce que a priori tout va bien et qu'il n'y a rien à en dire.