Le baiser mortel du dragon

Titre original: Kiss of the Dragon
Origine:
  • France
Genre:
  • Action
Public: À partir de 16 ans
Année de production: 2001
Date de sortie: 15/08/2001
Durée: 1h30
Synopsis : Un homme en provenance de Hong-Kong (Jet Li) arrive à Paris. Le soir même, il fait partie d'une mission qui consiste à piéger un haut dignitaire chinois véreux en flagrant délit. La mission tourne mal. Le dignitaire se fait assassiner et notre héros tombe dans le piège qu'on lui a tendu. Il prend toute la responsabilité du meurtre. Notre héros est donc traqué dans Paris qu'il ne connaît pas et il aura bien du mal à prouver son innocence.
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    6.5/10 15 votes - 15 critiques

Photos du film Le baiser mortel du dragon

Avis des internautesdu film Le baiser mortel du dragon

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Publié le 30 août 2003
Mediocre, peut faire mieux. La prestation de Jet Li reste pour moi le point fort. Mais bon il a deja fait mieux comme film. Des films comme Fist of Legend, Drunk masters un et deux, Il était une fois en Chine.. Films made in China avec une putain de dose d'art martiaux, de la pure technique. ca ce sont des bon films. je trouve lassant ces films comme Roméo must die, l'arme fatale 4, kiss of the dragon. enfin bon voila quoi sans plus

Publié le 2 octobre 2002
Tout a été déjà dit donc... Ca ne mange pas de pain, le scénario tient en 2 lignes, les scènes de bagarre sont tantôt réussies, tantôt mal orchestrées; la scène avec Jet Li contre les nombreux policiers (clin d'oeil -raté- à Bruce Lee) vous fera bien rigoler si vous maintenez votre regard sur un des adversaires plutôt que sur le héro principal. Le méchant policier, il est vraiment très très méchant, qu'on ne sait pas pourquoi et que ce n'est même pas crédible (enfin). Il détruit la moitié de Paris, tue des civils, sans qu'il ne fusse le moindre du monde inquiété. Alors il y a aussi un paquet de policiers (plus l'air de mercenaires) qui parlent américain (oui, avec l'accent), très courant à Paris (?), sont armés de trucs qu'on avait vu seulement dans les mains de Schwarzenneger avant, et se baladent avec dans les palaces parisiens, qu'ils détruisent sur leur passage (très réaliste donc) Les autres policiers sont de vrais clichés ridicules. Luc Besson vient de prouver ses limites: il avait commencé par faire des films 'à l'américaine' (grand spectacle, pas forcément péjoratif). Maintenant, il fait des merdes à l'américaine! Ses films (ou 'co-films') ressemblent de + en + à des clips video (Taxi, ...) et même si ça peut être plaisant, il faut vraiment mettre son cortex cérébral de côté comme disait je ne sais plus qui. Ce(lui) qui m'a surpris, c'est Jet Li: belle palette d'expressions à son actif. Conséquence: les scènes 'sentimentales' ne m'ont étrangement pas enquiquiné; il y avait comme une douce expression de sincérité dans les yeux de ce petit chinois (petit... mais costaud:) Le thème, c'est vraiment le preux chevalier qui se met au service de la veuve et de l'orphelin, pour combattre le mal. Breeeeeeef, voilà quoi!

Publié le 27 août 2001
Un Film à la Besson dans la droite ligne de Nikita... A savoir, une scénario d'une légereté exagérée, des scènes de baston bien orchestrées (la scène de combat dans la salle de gym avec plus de 20 flics, un peu lourd...) mais stéréotypées (un noir super baraqué, un très grand type style russe) avec des clins d'oeil à Bruce Lee et Jackie Chan... Tout cela est contrebalancé par le rythme soutenu du film, ce qui fait que l'on 'est dedans'...

Publié le 25 août 2001
Je m'attendais à voir de la baston dans ce film, mais là, il y a un peu d'exagération. Jet Li se bat tout seul contre toute la police de Paris (une fameuse bande de pourris) et leur pique des cure-dents dans le cou pour les faire dormir ou leur faire monter le sang a la tête jusqu'à la mort (à peu près aussi débile que Ken le survivant). Le coup de la balle de snooker est d'un ridicule pas possible, j'ai failli me tirer de la salle, mais ce n'était encore que le début du film (et ça coûte plus de 200 balles, même quand c'est archi con)

Publié le 22 août 2001
On laisse son intelligeance au vestiare et ensuite on passe une heure et demie a s'amuser en regardant des scènes de baston épiques, au cours desquelles le gentil héros explose à lui seul la tête à 10, 20 puis 50 types en même temps. La musique est sympa, les vues de Paris aussi, les gentils sont vraiment gentils et les méchants carrément hargneux (on vous explique les rôles de tout ce petit monde dès le début du film, pas besoin de réflechir inutilement). Le film parfait du Dimanche soir donc: idiot mais divertissant, simple mais bien fait. En revanche, ne surtout pas oublier de débrancher son cerveau à l'entrée, sinon c'est une catastrophe! Intellos s'abstenir...

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