La Chute du faucon noir

Titre original: Black Hawk Down
Origine:
  • États-Unis
Genres:
  • Guerre
  • Drame
Public: Tout public
Année de production: 2001
Date de sortie: 20/02/2002
Durée: 2h23
Synopsis : Black Hawk Down est l'histoire vraie et poignante d'une mission entreprise par l'armée américaine à Mogadishu, en Somalie. Dans le cadre des forces de maintien de la paix de l'O.N.U., un groupe de soldats d'élite américains est chargé d'enlever plusieurs hauts officiers d'un seigneur de la guerre somalien dans le but de mettre fin à la guerre civile qui déchire le pays. La mission préparée soigneusement tourne mal et mène à la plus grande rencontre à main armée des forces américaines depuis le Vietnam.
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    6.8/10 18 votes - 20 critiques

Avis des internautesdu film La Chute du faucon noir

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Publié le 2 mars 2002
Très bonne réalisation pour ce film un peu trop américain à mon goût quand même... Les scènes crues changent des autres films du genre. Seul regret, le rythme ne baisse que très rarement et par moment, je me suis surpris à avoir envie de scènes plus calmes qui entrecouperaient l'action un peu trop pesante parfois. Mais dans l'ensemble, ce film était un bon moment !

Publié le 2 mars 2002
Heu...on parle de même film là ?!? C'est un navet total ce truc, on ne peut plus ennuyant, ya rien à en retirer de ce film, une merde complète réussie de A à Z ! N'y allez surtout pas, c'est vraiment lamentable...ya pas un acteur qui vaut le détour, c'est long, c'est tout le temps la même chose, ca fait pan-pan boum boum pendant 2 heures, vraiment pitoyable...je ne trouve pas les mots !

Publié le 2 mars 2002
Et quand à ceux qui trouve ca excellent...regardez un peu La Ligne Rouge, ca c'est un excellent film sur la guerre ! Effacer tout de suite cette niaiserie de faucon noir à la noix !

Publié le 2 mars 2002
Ben la ligne rouge c'était tout aussi génial mais dans un autre chapitre, je me suis d'ailleurs empressé d'acquérir le DVD, je ne comprends pas en quoi BHD est mauvais, le réalisme est époustouflant, le patriotisme n'est vraiment pas mis en avant comme à l'habitude, le montage, les effets spéciaux, le jeu d'acteur sont impeccables et en plus les amerlocs en prennent plein la gueule, que demander de plus.

Publié le 28 février 2002
Dans ce genre de défi (cinématographique) il y a toujours le problème de la réalité historique auquel je ne m’attarderai pas car visiblement elle n’a pas été respectée (voir les réactions malaysiennes), sans parler du patriotisme , éternel problème du cinéma américain, je me focaliserai donc essentiellement sur l’aspect cinématographique du film. Côté réalisation, depuis le soldat Ryan, le réalisme des films de guerre américains a atteint un niveau irréprochable voire même inquiétant car il est devenu impossible de déceler la réalité des effets spéciaux, de plus on est loin des films de guerres classiques dans lesquels des centaines de soldats meurent, durant tout le film l’accent est mis sur chaque soldat américain touché, j’ai eu un sentiment ambivalent face à ce côté «humain» du film car s’il est vrai que si l’on finit par s’attacher à eux on ne peut s’empêcher de penser que le réalisateur les as peut-être rendus attachants par des comportements excessivement solidaires les uns des autres voir très «raisonnés» afin de faire jouer nos fibres mais est ce la vérité ? Se comportent-ils réellement comme cela ? La question se pose également pour l’officier qui dirige toute l’opération. La mise en scène est époustouflante et le rythme très éprouvant, on prend vraiment conscience de la dureté du combat de ville qui implique une présence constante et donc un stress continu, le rendu de type de combat est vraiment extraordinaire. La musique est signée Hans Zimmer qui n’a pas fait que du bon, car ses marches militaires pompeuses commençaient sérieusement à agacer, pour moi le meilleur de Zimmer est derrière lui avec Green card, Toys, Rain Main, The power of one, jusqu’au jour ou il a commencé avec ses marches militaires chiantes (the rock, armageddon,….) même son Gladiator «pour moi» n’arrivait pas à hauteur du fabuleux Green Card, ici je retrouve le Zimmer du début 90 avec des partitions proches de l’ouverture de Green card cela dit on ne peut s’empêcher de penser à la dernière tentation du christ de Peter Gabriel car les similitudes sont assez troublantes mais c’est tellement beau qu’on lui pardonne ;o)) Bref, un grand moment de cinéma.

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