Summer of Sam

Origine:
  • États-Unis
Genre:
  • Drame
Public: À partir de 16 ans
Année de production: 1999
Durée: 2h24
Synopsis : New York, été 1977 : une chasse à l'homme frénétique dans une atmosphère torride... La hausse de la température bat des records historiques pendant que les tubes disco, tout aussi torrides, déferlent sur les ondes. Cet été-là, un serial killer, insaisissable comme une ombre fantomatique, abat des jeunes couples et des jeunes femmes dans le Bronx... Une déflagration de calibre 44 et il disparaît... La presse souffle sur les braises, la police piétine, la psychose et la paranoïa s'emparent peu à peu de la population. Démasquer le tueur devient désormais l'affaire de chacun : celle des autorités, celle aussi d'un parrain mafieux ou encore celle d'une bande de gars désoeuvrés, prompts adresser la liste des individus marginaux ou bizarres du quartier. Sur cette liste, figure Ritchie (Adrien Brody), un jeune punk aux moeurs passablement dissolues, suspect idéal et pourtant meilleur ami de Vinny (John Leguizamo) qui fait partie de la bande... Vinny dont les relations avec Dionna (Mira Sorvino) , sa femme, se détériorent de jour en jour au rythme de la chaleur qui monte. A tel point que leur confrontation conjugale rivalise d'intensité avec la frénétique chasse à l'homme improvisée qui menace de plonger le quartier dans le chaos...
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    6.4/10 9 votes - 11 critiques

Avis des internautesdu film Summer of Sam

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Publié le 20 juin 2000
Summer of Sam, Summer of Sam, mon dieu, quelle horreur ! J'ai rarement vu un film aussi inutile de ma vie. J'en ai vu beaucoup portant, de films inutiles. Mais celui-ci m'a tenu éveillé une bonne partie de la nuit. Car il est vraiment choquant, dans toute l'acception du terme. Par où commencer, pour parler de ce film ? Prenons l'approche froidement logique. Il y a, disons, deux sortes de films : les purement commerciaux (qui sont parfois bien faits, ce qui leur donne une certaine rédemption passagère) et les films d'auteur. Spike Lee est un auteur. On peut donc s'attendre à ce qu'il fournisse un produit original, intéressant, neuf, intellectuellement satisfaisant, brillant par la forme et par le sujet, et par le sujet derrière le sujet. Que nous montre-t-il ? Sur fond musical très travaillé mais TONITRUANT (cette attaque vicieuse des tympans n'est peut-être due qu'au fait que, la salle, avec ses 4 spectateurs, était vide, et qu'il n'y avait pas assez de corps humains pour absorber le déferlement des décibels, surtout vers la fin du film), il nous montre une faune de crétins frénétiques, drogués, dégénérés, obsédés, hébétés, arriérés, et j'en passe, qui hurlent des propos sous-humains totalement, exclusivement, existentiellement obscènes et suscités par des pulsions primaires, dans des situations misérabilistes et des décors navrants. Ah, me reprochera-t-on, mais ce type (moi) est un dégoûté, un précieux, qui n'apprécie pas la description d'un monde, repoussant certes, mais qui existe! Bien sûr qu'il est intéressant de montrer tout ce qui est humain, mais le hic, c'est que, dans ce cas particulier, cela a déjà été fait très et trop souvent (je pense au brillant 'Goodfellas' de Scorcese, 1990, avec son parti-pris de montrer des minus dans leur terrible environnement ). Il ne reste ici qu'une fresque (étonnante, sur le plan cinématographie pur) inutile, qui semblerait indiquer que Spike Lee, auteur, aime (se roule dans) ce microcosme (mais qui pourait devenir un macrocosme si on continue à nous servir de pareilles horreurs, l'influence du cinéma n'étant pas à sous-estimer) présentant peu d'intérêt en soi, sauf celui d'étre décrit, ce qui, je le répète, a déjà été fait, ad nauseam. Pour se dédouaner quelque peu, Lee introduit habilement une dimension anti-raciste dans son histoire (qui, en plus, va dans tous les sens en touche un peu à tout), ce qui est très bien, bravo, mais qui a aussi été fait mille fois, et mieux. On en vient tristement à penser qu'un film commercial, fait pour le pognon, peut parfois être plus 'honnête' qu'un film d'auteur, ce qui est un comble. Je mets 'moyen' pour le jeu (stupéfiant de réalisme) des acteurs et la mise en scène très inventive, mais, pour une fois, la forme n'a pas pu sauver le fond, à mon avis. P.S. Le film est 'Enfants Admis', les bras m'en tombent.

Publié le 19 juin 2000
Le film le plus NUL que j'ai jamais vu !!! En même temps thriller, drame et porno, on saute sans arret d'une scène à l'autre, les unes n'ayant AUCUN RAPPORT avec les autres. Un bon conseil: N'ALLEZ PAS VOIR CA ! Je trouve d'ailleurs choquant que certains le trouvent bon. Enfin, un film pathétique à ne surtout pas aller voir!!! GLADIATOR EST 10.000.000.000.000 FOIS MIEUX !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Publié le 19 juin 2000
Le film le plus NUL que j'ai jamais vu !!! En même temps thriller, drame et porno, on saute sans arret d'une scène à l'autre, les unes n'ayant AUCUN RAPPORT avec les autres. Un bon conseil: N'ALLEZ PAS VOIR CA ! Je trouve d'ailleurs choquant que certains le trouvent bon. Enfin, un film pathétique à ne surtout pas aller voir!!! GLADIATOR EST 10.000.000.000.000 FOIS MIEUX !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Publié le 19 juin 2000
Le film le plus NUL que j'ai jamais vu !!! En même temps thriller, drame et porno, on saute sans arret d'une scène à l'autre, les unes n'ayant AUCUN RAPPORT avec les autres. Un bon conseil: N'ALLEZ PAS VOIR CA ! Je trouve d'ailleurs choquant que certains le trouvent bon. Enfin, un film pathétique à ne surtout pas aller voir!!! GLADIATOR EST 10.000.000.000.000 FOIS MIEUX !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Publié le 5 juin 2000
Un film bien kitsh, avec un beau portrait des 70's. C'est bien réalisé et se laisse regarder avec plaisir.

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