The Million Dollar Hotel

Origine:
  • États-Unis
Genres:
  • Drame
  • Policier
  • Thriller
Public: Tout public
Année de production: 2000
Date de sortie: 15/03/2000
Durée: 2h01
Synopsis : A Los Angeles, un palace délabré dans le quartier déshérité de Down Town. L'envers du décor de la cité des anges, la poubelle de la ville, devenue aujourd'hui la cour des miracles où survit une faune de marginaux livrés à eux-mêmes. Un matin, Tom Tom, un attardé mental, se jette dans le vide depuis le toit de son hôtel. A travers un long flash-back, nous découvrons la vie de ce paumé, amoureux fou d'Eloise, un ange déchu qui nie sa propre vie, traînant pieds nus dans les rues malfamées de Down Town.
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    5.7/10 9 votes - 9 critiques

Avis des internautesdu film The Million Dollar Hotel

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Publié le 21 mars 2000
Voici un film qui ne restera pas dans les mémoires. On peut juste se réjouir de la BO qui est exceptionnelle.

Publié le 18 mars 2000
Je trouve ce film un des plus beaux de ma vie. Mel Gibson est genial dans sont travaille, Mila Jovovich est super belle et joue sont rôle vraiment bien. Le Film est etrange, mais plain de signification très interessante. C'est un film a voir.

Publié le 17 mars 2000
Ce film est d’une longueur… on attend qu’une seule chose, que le générique de fin apparaisse enfin ! Non seulement on se fiche complètement de savoir qui a pu pousser ce fils de bonne famille à se suicider, mais tous les personnages, aussi zozo les uns que les autres, n’ont que peu de profondeur et nous laissent finalement assez indifférents… Reste Mel Gibson et quelques belles images… bref, pas grand chose à se mettre sous la dent pour digérer !!

Publié le 8 mars 2000
'Heureux les simples d'esprit car ils verront Dieu'.... Voici, pour ceux qui se glorifient de ne pas appartenir à la 'sinistre catégorie' de l'américain moyen (expression utilisée par l'un des critiques de 'The green mile'), LE film 'européen' célébrant la religiosité New Age. Néanmoins, à la vision de ceci, il n'y a pas de quoi se sentir fier d'être européen... C'est prétentieux, malhonnête et ridicule, je m'explique... L''intrigue' : l'un des pensionnaires de The million Dollar Hotel (une 'demeure' se situant à mi-chemin entre le refuge pour laissés pour compte et l'asile d'aliénés, bref une sorte de 'cour des miracles' moderne) se tue en tombant du toit de l'immeuble, l'a-t-on poussé ? Personne ne s'y intéresserait s'il ne s'avérait que le défunt fut le fils d'un richissime, bref le FBI débarque.... Parmi les suspects, un 'ange' (au cas où vous ne seriez pas sûrs de son statut, celui-ci est affublé d'une coiffure style pétard constituée de deux 'ailes' de cheveux ornant les côtés de sa tête) amoureux d'une sorte de 'Colombine' (Mila Jovovitch, pour les amateurs) un peu timbrée elle-aussi et dont il ne peut supporter l'idée qu'elle pense qu'elle ne vaut rien. En relisant ce récit, on pourrait se dire que, après tout, ce n'est pas si mal mais énormément d'éléments de cette histoire exhalent un fumet assez nauséabond : les 'ratés' du capitalisme apparaissent comme des loosers pathétiques tous affligés d'une tare psycholgique ou mentale et PARCE QU'ils sont tarés, seuls ils peuvent voir Dieu (Bono, oui celui de U2, a collaboré à l'écriture de ce film, impossible de ne pas y voir l'influence d'un lourd préchi-précha catholique irlandais) et d'ailleurs, les pauvres, ils n'ont que cet 'avantage' car ils apparaissent bel et bien condamnés sur cette terre sans salut autre que dans le ciel; on apprend d'autre part que ce n'est qu'à l'heure de mourir que l'on realise 'a quel point la vie est parfaite' et ce baratin risible (surtout vu le contexte désespéré sans remède dans lequel il nous est servi) nous est servi deux fois et de manière grandiloquente (au cas où l'on n'aurait pas compris cette 'profonde' pensée au départ); dernier 'message' : il y a des ratés partout, même au FBI (ouf !!). Le tout nous est administré sous la forme d' images somptueuses, parfois même magnifiques de temps suspendu (comme seul Wim Wenders peut le faire), mais la philosophie Dogma ayant produit son petit effet, on est embarassé de voir tel environnement traité de cette manière. Bref une GROSSE déception dont n'émergent que quelques belles images et des acteurs (mention spéciale à Mel Gibson, dans une autoparodie aussi pathétique qu'inquiétante, et à Gloria Stuart, celle qui jouait la mémé de Titanic) qui n'ont probablement même pas eu conscience de la manipulation dont ils ont été l'objet.

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