Synopsis : Danny, ingénieur travaillant à bord de The Virginian, un bateau à vapeur effectuant la traversée entre l'Europe et les Etats-Unis, découvre un nouveau-né, dans une boite déposée sur un piano. Le bébé est orphelin et, étant né à bord du navire, il ne dispose d'aucune nationalité. Danny décide de s'occuper de l'enfant et de l'éduquer lui-même. Et pour commencer, il l'appelle NINETEEN HUNDRED eu égard à l'année de sa naissance. Nineteen Hundred n'est pas autorisé à quitter le navire, de peur qu'on ne l'enlève à Danny. Et le navire voyageant en permanence entre les deux continents, il devient rapidement sa maison tandis que les passagers lui servent de fenêtre sur le monde. Lorsque Danny décède dans un tragique accident, Nineteen Hundred se cache dans le navire, craignant qu'on ne le retire de la seule maison qu'il ait jamais connu. Mais une nuit, après qu'il ait vécu plusieurs semaines caché, les passagers sont réveillés par la superbe musique que joue Nineteen Hundred sur le piano du navire. Le capitaine est charmé et autorise le garçon à continuer à vivre à bord. Et c'est ainsi que naît la légende de Nineteen Hundred, le plus grand pianiste de tous les temps. Les années passent et la renommée de Nineteen Hundred devient celle de l'homme dont la musique danse passionnément avec l'océan'. Les gens parcourent d'énormes distances pour assister à ses représentations magiques et épiques. Nineteen Hundred donne sa meilleure représentation un après-midi, en présence d'un homme qui travaille dans une maison de disques et qui enregistre sa musique. Un jour que Nineteen Hundred voit passer une superbe jeune femme, il en tombe éperdument amoureux et son jeu musical devient le plus beau chant que l'on ait jamais entendu. L'homme de la maison de disques est tout simplement ébahi et promet à Nineteen Hundred que son chant sera entendu dans le monde entier et qu'il touchera le coeur de millions de personnes. Mais Nineteen Hundred ne souhait pas que se musique soit écoutée en son absence et il détruit l'album, de manière à ce que plus jamais personne ne puisse l'écouter. Et il jure solennellement de ne jamais quitter The Virginian...