La Fin d'une liaison
Titre original: The End of the Affair
Réalisateur:
Origines:
- États-Unis
- Royaume-Uni
Genre:
- Drame
Public:
Année de production: 1999
Date de sortie:
05/04/2000
Durée: 1h41
Synopsis :
Londres en 1946 - Un soir pluvieux, le romancier Maurice Bendrix rencontre par hasard le mari de son ex-maîtresse et sa passion pour elle se déchaîne à nouveau. Poussé par la jalousie, il fait suivre Sarah et apprend ainsi les raisons pour lesquelles elle a mis fin à leur liaison. Lors d'un raid aérien, elle a supplié Dieu de sauver la vie de son amant et en échange, elle a promis de ne plus le revoir. Quand Bendrix réapparaît dans sa vie, Sarah se voit placée devant un dilemme spirituel et doit faire un effort surhumain pour tenir sa promesse.
Avis des internautesdu film La Fin d'une liaison
- 1
Publié le 21 avril 2000
Il est vraiment beau Ralph Fiennes, irresistible!!!! quelle couleur ont ses yeux!!!!!! moitié gris moitié vert.... et en plus, il est tellemt amoureux de Julianne Moore... moi aussi j ´aimerias qu´un homme tombe amoureux de moi de cette facon inconditionnelle... mais il parait que cela n´arrive que dans les films. En tout cas je conseille á tootes les femmes d´aller admirer un des hommes les plus attrayants de la terre.
Publié le 7 avril 2000
'La fin d'une liaison' ou plutôt le souvenir puissant d'une rupture provisoire dictée par la naissance de la foi... Film étonnant à plus d'un point de vue mais pas le chef-d'oeuvre que l'on proclame parfois. En deux mots : le narrateur (Ralph Fiennes), qui campe un écrivain, croise par hasard, un soir de pluie, un homme qui s'avère être un ex-mari cocu (Stephen Rea) que la femme (Julianne Moore) trompait avec... l'écrivain. Le mari est désespéré : il est convaincu que sa femme le trompe mais à ce moment... ce n'est plus avec l'écrivain (car 'The End of the Affair'...). Ralph Fiennes (l'amant trompé) décide (à la place du mari) d'engager un détective privé pour suivre les faits et gestes de Julianne Moore. Je laisse tomber la suite, vous la découvrirez par vous-mêmes... L'intérêt du film, en définitive, réside moins dans l'intrigue que dans l'évolution psychologique de personnages tourmentés par la passion, la jalousie et la foi ou le rejet de la foi. Graham Greene, dans son livre, privilégiait l'intériorité. Neil Jordan, dans son adaptation, agit de la même façon avec, pour la scène centrale du film (la chute de Ralph Fiennes dans un escalier, provoquée par une déflagration) une double instance de narration qui complète les points de vue. On adhère au récit polyphonique, on adhère à cette intimité (presque toutes les scènes sont tournées à l'intérieur ou pendant la nuit), on adhère moins à l'illumination soudaine du catholicisme et à la fin du film (non, je ne la dévoilerai pas !). A la fin de cette 'affaire', il nous reste plus des images éparses qu'une globalité incontestable, des images d'une esthétique très 'film noir' avec un Ralph Fiennes en silhouette bogartienne. Oublions les 'miracles' et ne retenons que la brume, les imperméables, les boiseries victoriennes, le regard de Julianne Moore et la petite touche (bienvenue) d'humour avec le détective et son 'boy'...
- 1
Emma