Eyes Wide Shut

Origine:
  • États-Unis
Genres:
  • Drame
  • Thriller
  • Erotique
Public: À partir de 16 ans
Année de production: 1999
Date de sortie: 08/09/1999
Durée: 2h57
Synopsis : William Harford, médecin, mène une paisible existence familiale. Jusqu'au jour où sa femme, Alice, lui avoue avoir eu le désir de le tromper quelques mois auparavant...
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    7.6/10 27 votes - 26 critiques

Avis des internautesdu film Eyes Wide Shut

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Publié le 11 juillet 2003
J'avais pas envie de le voir, on m'avait dit que c'était un navet et malgré que le film soit effectivement lent, trop long et qu'à la fin on reste un peu sur sa faim ... j'ai vraiment bien aimé !!!!!!!

Publié le 13 octobre 2001
J'ai pas envie de faire une critique exhaustive Il y a des trucs intéressants, c'est incontestable. Ce film fait réfléchir, comme c'est souvent le cas avec Kubrick. Malgré cela, il faut bien avouer que l'on a du mal à ne pas s'endormir devant le film. Je ne doute pas une seule seconde du fait que la lenteur soit voulue afin (peut-être) de nous faire saisir l'angoisse dans laquelle est plongée Tom Cruise, mais y rien à faire, c'est quand même horriblement chiant de le voir se déplacer dans la rue en scrutant autour de lui, prendre le taxi sans dire un mot, etc... La preuve c'est que je n'ai plus aucune idée des noms donnés aux différents acteurs dans le film. Si vous voulez voir un film qui fait réfléchir, matez plutôt Cube, un fimm génial qui n'est injustement pas repris dans la liste du forum.

Publié le 10 janvier 2001
Je n'ai peut être rien compris au film mais quelques jours après avoir vu le film, j'en ai discuté avec une collègue et on se disait que finalement, Nicole Kidman n'avait peut être pas été infidéle qu'en rêves, effectivement, quand Tom Cruise retrouve le masque, on ne sait pas qui l'a amené dans l'appartement. Ca pourrait être NK qui était présente dans la scène du chateau et qui finalement a plus à se reprocher qu'il n'y paraït. A ce moment là, la scène de fin où si je me souviens bien (ça fait un bout de temps que je l'ai vu au cinéma) elle dit Baisons, est une façon de dire : on oublie nos aventures respectives où on s'est bien amusé, avec lesquelles ça a failli mal se terminer et on fait comme si rien ne s'était passé. Je sais, c'est peut-être un peu tordu comme raisonnement mais ça vaut la peine d'y réfléchir. Sinon, comme beaucoup, j'ai adoré ce film tant pour la musique (celle de la scène du chateau est sublime), la façon de filmer de Kubrick, les décors ainsi que les acteurs (avec une préférence pour NK). Espérons que Kubrick restera une référence pour le cinéma futur.

Publié le 7 décembre 2000
un film fleuve complique et simple a la fois j'avais tres peur que kubrick tombe dans le piege du sensationnel sexuel j'ai l'impression que la pré-publicité faite au film a excité toute une masse de voyeurs qui se sont rués afin d'en avoir pour leur argent bien sur ils ont ete decus beaucoup de monde semble avoir ete decu et bien pas moi! le film cloture admirablement la filmographie sans faute de kubrick il nous parle d'ne chose tres simple et necessaire : l'amour et ses deviances l'amour et ses phantasmes tranquillement sereinement le malaise s'installe le voyage de tom cruise ou il s'obstine a tutoyer l'amour et la mort nicoles kidman absente une grande partie du film mais son image si obsédante tom cruise en docteur sur de lui qui tout a coup ne sait plus sur quel assurance s'asseoir l'ecran est plein et chaque scene caresse le spectateur dans tous les sens pour le seduire ou le manipuler du grand et pur cinéma

Publié le 27 octobre 2000
POUR APPRECIER CE FILM, IL VAUT MIEUX ETRE UN HOMME ET AVOIR DEJA TROMPE SA FEMME. Car ce film ne nous raconte indéniablement que le côté masculin de l'infidélité: on abandonne rapidement les petits fantasmes de madame pour suivre Tom Cruise dans sa lente descente vers l'adultère sans jamais y toucher. En effet le film traite davantage de la tentation et de la culpabilité que du péché lui-même, et c'est ce qui est le plus angoissant: cette frustration qui accompagne le remord... Je plains ceux qui n'ont pas accroché à cette problématique des personnages, c'est qu'ils n'ont jamais vécu. Je plains aussi ceux qui n'ont vu que lenteur, ridicule et absurde dans la mise en scène de Kubrick: c'est qu'ils n'ont aucun sens de l'esthétisme qui incombe à ce débat... comment ne pas pécher par le symbolique quand on traite du sujet le plus psychanalytique qui soit: le refoulement des pulsions? Kubrick était un géant.

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