Eyes Wide Shut

Origine:
  • États-Unis
Genres:
  • Drame
  • Thriller
  • Erotique
Public: À partir de 16 ans
Année de production: 1999
Date de sortie: 08/09/1999
Durée: 2h57
Synopsis : William Harford, médecin, mène une paisible existence familiale. Jusqu'au jour où sa femme, Alice, lui avoue avoir eu le désir de le tromper quelques mois auparavant...
  • /10 Vous devez être connecté à votre compte pour coter ce film
    7.6/10 27 votes - 26 critiques

Avis des internautesdu film Eyes Wide Shut

Vous devez être connecté pour ajouter une critique Créez un compte
Publié le 4 mars 2000
I have never seen such a SUCKING FILM. That's to put in a trashbag.... no comment

Publié le 13 novembre 1999
Excellent, oui, mais encore!! J'ai vu ce film le jour de sa sortie en salles et je le 'digere' encore. C'est ca un bon film, on ne saisit pas tout, tout de suite. Dommage pour les gens qui ne l'on pas compris ce film, qui le voient simplement comme une histoire de couple, avec ses realites, ses fantasmes et ses non-dits (que les protagonistes principaux, et c'est la l'idee du film, decident de se jeter a la figure). C'est l'histoire d'un couple qui est base sur du vide et sur des conventions. Quand le personnage interprete par Kidman decide, comme un sycophante, de dire au roi de son coeur qu'il ne l'est pas tant que ca, on ne comprend pas il le fait. Et pour moi ca reste un mystere, ou mieux encore, un de ces actes fous qu'on a envie de poser pour pouvoir ensuite se regarder soi-meme differemment. Le meilleur, c'est qu'elle connait les consequences que son acte aura. Pour une fois qu'on nous sert un personnage de femme qui n'est pas l'archetype de la 'gardienne de la morale' et que c'est pas une sal***, ... tout est tellement ambigu et nuance que rien n'etonne plus, ni meme l'espece de club tres ferme. C'est un peu comme l'illustration du principe de logique selon lequel la consequence de quelque chose de faux est toujours vraie. Tout ce qui arrive n'est pas previsible mais neanmoins possible. Kubrick joue avec ceux parmi nous qui s'autorisent a entrer dans le film. Et tant pis pour les autres, il leur reste un large evantail de navets dans les salles.

Publié le 17 octobre 1999
voir 'ça' jusqu'au bout c'est savourer... 2 heures et 35 minutes de masochisme culturel. Fable moralisante la-men-ta-ble! Tout est lent, tant l' 'histoire' (si histoire il y a) que les dialogues... L'ensemble est assommant Ma voisine s'est assoupie... douze fois mais... nous avons été assez héroïques (ou masos) pour le voir jusqu'à la fin. Ce film, surjoué de manière guignolesque n'est destiné qu'au grand public américain: Les actrices se tortillent comme des anguilles qui souffrent d'hémorroïdes, pour (très bien) montrer qu'elles sont occupées à séduire. Les hommes ne cessent de se donner des grandes claques dans le dos pour (très) bien faire comprendre aux spectateurs qu'ils sont amis. Lorsque les personnages sont gênés, ils bégayent de manière ostentatoire, et lorsqu'un acteur ennuyé n'a rien à dire, il respire comme un asthmatique durant... au moins cinq minutes (pour bien permettre de saisir la finesse des sentiments du personnage). Et, pour (bien) montrer qu'elle est mariée, Kidmann montre son alliance à la caméra (plusieurs fois) tout en le disant (très) clairement à son séducteur. Concernant la famille, un gosse 'placé comme une poupée', apparaît (quand c'est nécessaire) et disparaît (oublié par la caméra) au gré des besoins du pseudo ' scénario'. Notons que la gamine en question trouve quand même le temps de faire un véritable spot publicitaire pour les jouets Mattei (Barbie) dans son rôle. 'Scénario', parlons-en: Kubrick veut faire passer l'idée que l'infidélité sexuelle peut-être dangereuse. Dans la plus pure tradition US, il associe de manière fallacieuse le sexe et le sida, la violence, l'orgie sordide, la drogue, la prostitution. Dans ce gros cliché puritain, Tom Cruise ne pouvait vivre une expérience agréable. Et, simple d'esprit, Kubrick a présenté une partouze comme l'imaginent les puritains: Son orgie était satanique, elle se déroulait dans un château, entre des gens richissimes et, bien sûr avec des prostituées (l'épouse idéale ne fait pas des choses pareilles, bien sûr! D'ailleurs tout le monde sait que les femmes se sacrifient aux désirs sexuels des hommes mais qu'elles n'y prennent aucun plaisir n'est-ce pas?) . Pour sa fable moralisante, Kubrick s'aligne dans le style des cinéastes américains, et utilise la classique technique de manipulation qui consiste à lancer un titre qui intéresse les libertins pour les attirer devant son navet et leur seriner la morale d'outre-Atlantique à coups d'exemples en montrant les déboires subis par l'aventurier sexuel. Délire puritain américain: Pour obtenir une classification 'R' vis-à-vis de la censure américaine (c'est-à-dire une non-interdiction aux moins de 18 ans), il a fallu supprimer soixante-cinq secondes de la (ridicule) scène 'd'orgie' en voilant les images (qu'ils considèrent comme) 'osées' avec des objets ou des silhouettes crées électroniquement et reportées sur la pellicule. La version européenne, bien qu'intacte, n'a vraiment rien de lubrique: Les acteurs qui simulent des rapports sexuels (brièvement et en plan général) sautent ou s'agitent contre leurs partenaires de manière à (très bien) montrer qu'ils 'font semblant' comme le feraient des boy-scouts de douze ans qui jouent une pièce de théâtre à l'école...

Publié le 17 octobre 1999
Dites, on parle bien d'un film, là ?

Publié le 17 septembre 1999
Un film à voir, qui ne laisse pas indifférent. Très bonnes images, très bonne musique mais l'histoire est peu réaliste et le message transmis est fallacieux. Et la fin ne fait pas sens. Kubrick veut nous vendre l'idée que le borderline sexuel peut-être dangereux en associant de manière fallacieuse le sexe et la violence (drogue, violence, orgie sordide, etc..) Que se serait-il passé si Bill avait eu une expérience banale en trompant sa femme avec une prostituée, ou même s'il avait une expérience tout à fait enrichissante en participant à une orgie joyeuse? Je trouve que Kubrick est manipulateur : il nous montre les dangers du borderline mais en fait ce sont des dangers tout à fait irréalistes qui ne sont pas rattachés à la borderline. Ce film induit en erreur.

Ils recommandent ce film

Partager

Suivez Cinebel