Wild Wild West
Réalisateur:
Synopsis :
1869. Pour neutraliser son plus puissant ennemi, le démoniaque et richissime Dr Arliss Loveless, le président des États-Unis désigne deux agents spéciaux, James West et Artemus Gordon, choisis pour leurs compétences exceptionnelles. Si James West est un champion de l'humour à froid, charmeur et rusé, Artemus, lui, prône la réflexion et passe son temps à inventer des gadgets sophistiqués. Quelque peu rivaux, les deux agents vont devoir unir leur talent pour capturer l'infame Loveless. Rita Escobar, belle et mystérieuse artiste, se joint à eux.
Avis des internautes du film Wild Wild West
Publié le 26 septembre 2005
Ayant déja à son actif de nombreux succès dans le genre de la comédie burlesque, noire ou parodique (La Famille Adams ou Men in Black, entres autres), le réalisateur Barry Sonnenfeld nous livre ici un nouvel et bel exemple de son inventivité et de son imagination débridée. Comme souvent, les adaptations actuelles de séries télévisées célèbres prennent souvent beaucoup - trop - de libertés avec le concept originel - on l' a bien vu avec Charlie' s Angels, Scoubidou, et d' autres (Les Incorruptibles et Mission Impossible faisant partie des quelques exceptions). Au point même que beaucoup de fans de ces séries, qui ont comptées parmis les succès du petit écran dans les années 50 et 60, aient criés à la trahison. Et, vu le résultat de la transposition sur grand écran, on les comprend assez bien. Heureusement, ici, Sonnenfeld n' est pas tombé dans le piège. Car il est un cinéaste à la fois doué et respectueux de ce qu' il transpose au cinéma (il l' a bien montré avec La Famille Adams). Si l' adaptation est certes un peu "fourre-tout" (les inventions, telle que l' araignée mécanique géante du méchant Dr. Loveless ou les milles et uns gadgets du génie Artemus Gordon sont certes originales et très bien pensée, mais tout de même un tantinet farfelues), elle n' est pas dénuée d' un certain charme, loin de là. Il a pu sembler étrange, de prime abord, aux fans de la série d' avoir confié le rôle qui était tenu jadis par Robert Conrad à will Smith (un shériff de couleur dans l' Amérique de 1869 - même après la Guerre de Sécession et l' abolition de l' esclavage, c' est évidemment assez tiré par les cheveux). Mais Sonnenfeld est parti du principe - et il avait vu juste - que la majorité du public actuel n' avait pas vu la série n' y prêterait guère attention. Pour le reste de la distribution, à part la - ravissante - Salma Hayek, qui n' est là que pour apporter la touche de charme féminin quasi indispensable à tout film de ce genre; Kevin Kline, lui, donne une interprétation à la fois drôle et convaincante dans son double-emploi (il y tient à la fois le rôle d' Artemus Gordon et du général-président Ulysse Grant; ainsi que de Kenneth Brannagh, superbe dans son rôle de méchant cul-de-jatte mégalomane. En conclusion, si le film prend donc quelques libertés avec la série, il a néanmoins eu le bon gôut d' en conserver l' esprit originel, qui en fait tout le charme.
Publié le 28 novembre 1999
Franchement, je m'attendais à beaucoup mieux. Moi aussi, j'aime beaucoup Will Smith, et j'ai été déçue. Un western, O.K., mais bon... Déjà que c'est pas mon genre de film, mais maintenant, je crois que je n'irai plus jamais en voir. Les acteurs jouent bien, d'accord, mais c'est le seul truc positif! Au lieu de voir ce western-là, allez plutôt voir 'Mort ou vif'.
Publié le 17 septembre 1999
il faut bien que les fims remplissent les salles de cinéma. Dans ce genre çi le cinéma n'est plus un art mais une industrie. enfin cela fait quand meme vivre des gens.
Nrj